vendredi 31 juillet 2009

25 juillet 2009

Visite du Ministre de la Pêche et de l’Agriculture : discours des représentants professionnels (CLPM Le Guilvinec)
Le Ministre de la Pêche et de l’Agriculture était en déplacement au port du Guilvinec le 23 juillet 2009. Cela a donc permis aux professionnels de la filière Pêche de s’exprimer sur les difficultés auxquelles ils sont confrontés tous les jours mais également lui montrer que la pêche bigoudène et cornouaillaise ne se laisse pas mourir...

Pêche. La filière unie face à son ministre (Le Télégramme)
La filière pêche a défendu son modèle, hier, devant Bruno Le Maire. Le nouveau ministre de la Pêche était au Guilvinec pour écouter ses attentes.
Plus de deux heures de rencontre. Réunis autour de la table, les acteurs de la filière pêche ont rencontré, hier après-midi, le nouveau ministre de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Pêche. Des échanges suivis de la visite du Risten, le chalutier langoustinier de Patrice Donnart. L'occasion pour Bruno Le Maire de prendre conscience des efforts de la pêche bigoudène. Puis de la qualité de la production dont il a souhaité une meilleure valorisation. «Personne ne m'interdira de labéliser les produits», a-t-il souligné. L'occasion pour les représentants de la filière de s'exprimer.
André Le Berre, président du comité régional des pêches

Pêche. La filière bretonne fait valoir ses efforts (Le Télégramme)
Bruno Le Maire, le nouveau ministre de la Pêche, était hier au Guilvinec, dans un contexte de dégradation des marchés. L'occasion pour la filière bretonne de rappeler ses efforts.
De la langoustine en pagaille, du lieu, du rouget ou de la lotte. À l'heure du débarquement de la pêche côtière, Bruno Le Maire, le nouveau ministre de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Pêche, est venu prendre un premier contact avec les pêcheurs bretons, hier. «Il est important qu'on s'entende sur la stratégie, afin de voir de quelle façon construire l'avenir de la pêche française», a souligné le ministre aux représentants de la filière réunis à l'occasion d'une table ronde.
L'emprunt national au secours de la pêche

Navires de pêche. 18 projets de recherche sur l'énergie (Le Télégramme)
Sept millions d'euros d'aides publiques vont être investis dans la filière pêche, et plus particulièrement dans la recherche de solutions pour réduire la dépendance des navires au gazole. Le plan pour une pêche durable et responsable, annoncé le 16janvier 2008, prévoit en effet le financement de projets de recherche et développement consacrés à la réduction de la consommation. Deux appels à projets, lancés en février et décembre2008, ont permis de recevoir 38 propositions évaluées par un groupe d'experts. Ces évaluations ont permis de sélectionner 18 projets qui seront partiellement financés par le Fonds Européen pour la Pêche (FEP). Les projets sont multiples et concernent tous les postes de consommation d'énergie: modification de la conception des navires afin de réduire la consommation de gazole, développement d'équipements permettant d'optimiser les performances énergétiques, recherche sur les carburants alternatifs (utilisation d'huile végétale pure, propulsion vélique, hydrogène). Les porteurs de projets sont des bureaux d'études, des associations participant au développement des activités maritimes, des centres de recherche, des coopératives professionnelles, des PME.

La biomasse marine augmente avec la mortalité des jeunes espèces (BE)
Quand une espèce de poissons est victime de la pêche ou d'autres animaux, son nombre certe diminue mais cela signifie également que la concurrence entre les poissons restants, pour trouver de la nourriture, devient moindre. On pourrait ainsi penser que la diminution du nombre de jeunes et petits poissons devrait permettre aux autres de trouver plus facilement de la nourriture et de pouvoir devenir des poissons adultes, plus gros et plus résistants. Ces poissons restants produiront de nouveaux jeunes poissons en plus grand nombre de telle sorte à plus que compenser la mortalité précédente. Le professeur De Roos de l'université d'Amsterdam, qui a mené des recherches sur ce sujet, conclut donc qu'une pêche sélective de jeunes espèces de poissons mène à terme à un accroissement du nombre de petits poissons.
Ces résultats prouvent une nouvelle fois la complexité des cycles de vie marins et qu'y interférer peut provoquer des résultats non-prévus. Cette découverte a également des conséquences importantes sur la gestion durable des océans. Ce type de compensation accrue pourrait ainsi permettre d'éviter l'utilisation de réserves marines comme sources de jeunes espèces.

Sur la piste du goémon au large de Molène (Ouest France)
Cinq jours sur sept, Yvon Troadec prend le large avec son « Saphir » pour aller pêcher le goémon au large du Finistère.
La saison bat son plein pour les pêcheurs de goémon. Ils sont une petite vingtaine à Lanildut à pratiquer cette activité. Nous avons suivi l'un d'entre eux.
Reportage
4 h 50
Le port de Lanildut est encore plongé dans une nuit d'encre lorsqu'Yvon Troadec lance les moteurs de son goémonier, le Saphir. Dans sa cabine, ce solide gaillard de 50 ans écoute les dernières prévisions météorologiques du Cross-Corsen. « Bon, les prévisions ne sont pas terribles, prévient le pêcheur. Ça risque de secouer un petit peu à la sortie de l'aber Ildut. » Effectivement, ce ne ne sont pas les 40e Rugissants mais on est loin de la mer d'huile. Ce n'est pas le clapot qui va effrayer ce Brestois, goémonier depuis dix-sept ans.

Goémonier à pied - A pied : « Un métier régulier avec un avenir certain » (Ouest France)
Un métier physique, avec deux à cinq heures de récolte par jour avant le séchage et la commercialisation.
Trois questions à...
Johnny Galliou, goémonier à pied à Plouguerneau.
Que récoltez-vous aujourd'hui et comment choisissez-vous le type d'algues ?
La dulse ou palmaria, une algue alimentaire, se récolte à la main. Très riche en protéines, elle est séchée pour être consommée en paillettes, dans des condiments, ou fraîche (par exemple pour la nourriture des ormeaux). Je suis professionne. C'est mon métier depuis toujours. Mon grand-père était goémonier et, dans ma famille, cela remonte à six ou sept générations.
Nous sommes trois à travailler pour la SARL Bezhin Du, qui vend ses algues à différents clients industriels, comme Cargill, Agrimer, Setalg, Danisco. A chaque marée, nous faisons un point et nous allons récolter le type d'algues demandé. Nous récoltons par exemple environ 700 à 800 tonnes de fucus par an.

Décès d'un marin sénégalais, tombé à la mer au large de Hourtin (Gironde) (AFP)
Un marin sénégalais de 66 ans qui pêchait à bord d'un fileyeur de 15 m à 60 km de Hourtin (Gironde) est décédé mardi en tombant à la mer pour une raison indéterminée, a-t-on appris auprès de la préfecture maritime de l'Atlantique. Le fileyeur "Le Makaire", basé à Arcachon (Gironde), avait lancé un appel de détresse après la chute du marin au Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (Crossa) d'Etel (Morbihan) mais l'intervention de l'hélicoptère Dragon de la sécurité civile de la Gironde n'a pu le ranimer. Les conditions météorologiques sur zone n'étaient pas défavorables mardi, avec une mer peu agitée, a précisé la préfecture maritime de l'Atlantique dans un communiqué.

Gironde - Les pêcheurs côtiers veulent plus d'autorisations (Sud Ouest)
Les amateurs de pêcheurs au filet fixe entendent défendre leurs pratiques
Après la réunion avec le sous-préfet, les pêcheurs étaient « satisfaits » mais ils restent
«Au début, sur la plage, il n'y avait que les pêcheurs. Avec l'arrivée des congés payés, on a vu les baigneurs affluer. Plus tard, le surf a aussi fait son apparition, et bien d'autres pratiques. Au fil du temps, on a accepté de se pousser. Maintenant, on voudrait ne plus reculer et être respectés ! ». Après un rapide historique, Michel Boigné résume ainsi l'état d'esprit des pêcheurs côtiers amateurs. Des pratiquants qui défendent le surf casting (pêche à la canne) et la pêche au filet sur le bord de plage.

Thon rouge et hippocampe : deux premières en aquaculture (BE)
Thon rouge : et 416.666 douzaines d'oeufs s'il vous plait !
La mondialisation touche aussi les goûts culinaires, et ce n'est pas sans conséquence. Par exemple, l'engouement international plutôt récent pour les sushis et les sashimis menacerait d'extinction le thon rouge à la base de ces spécialités japonaises. C'est en tous les cas une des causes de la forte demande du marché et de la surpêche qui en découle. La situation est à ce point préoccupante pour Thunnus thynnus, et toutes les espèces de thons en général, qu'il existe même - depuis fort longtemps d'ailleurs (40 ans) - une commission internationale pour la conservation des thonidés de l'Atlantique, CICTA [1] dont le siège est à Madrid. "Menaces sur le thon rouge" est d'ailleurs le titre d'un long article consacré à ce sujet dans le numéro de juillet 2009 du magazine "Pour la Science".

Le CAD demande l’instauration d’une PUVE (Agoravox)
Le CAD exige la mise en place avant l’été d’un Périmètre d’Usage de Vente Exceptionnelle (PUVE) dans toutes les communes conchylicoles de moins d’un million d’habitants.
En effet, comme le rapporte notre confrère Le Monde dans son édition du 22 Juillet , il a été constaté, dans ces zones parfaitement ciblées et délimitées, une habitude d’usage de vente d’huitres ne répondant pas aux critères sanitaires actuellement en vigueur.

Huîtres : en vente malgré tout (M6)
Les ostréiculteurs d'Arcachon font front. La préfecture de la Gironde a interdit la consommation des huîtres et moules du bassin suite à des tests sanitaires défavorables réalisés en début de semaine, mais les professionnels en vendaient toujours ce mercredi. Pour eux, les méthodes de contrôle ne sont pas fiables.
"Les huîtres qui ont été qualifiées d'impropres hier, sont consommées depuis dix jours, et ce n'est pas pour autant qu'il y a des gens malades. La veille sanitaire révèle tous les cinq ans qu'il n'y a jamais eu de souci suite à la consommation des huîtres sur le bassin d'Arcachon", explique Olivier Laban, ostréiculteur. Depuis mai, c'est la quatrième interdiction à laquelle sont confrontés les professionnels.

La souris, le rat, l'huître et l'homme (Sud-Ouest)
La souris ne semble plus convenir. Le bassin d'Arcachon, en un cri unanime, a demandé à être soumis à une autre épreuve que celle qui met les nerfs à vif à tous les ostréiculteurs. Que vient faire une souris dans ce monde aquatique ? C'est la première question que l'on peut se poser à la vue des contrôles imposés par les normes européennes pour vérifier que la santé des mammifères demeurera intacte après l'ingestion d'un mollusque. C'est, in fine, ce que tout le monde se demande après la décision unilatérale des producteurs girondins de continuer à vendre leurs bourriches, que la souris succombe ou pas. Il y avait eu, voilà quelque temps, des propositions alternatives. Injecter le produit à un animal un peu plus gros que le bivalve marin, un mulot, par exemple, ou un rat. On aurait pu même aller jusqu'au chien voire au chameau. Car, au-delà du pittoresque, vécu comme tel dès lors qu'on s'éloigne du département de la Gironde, cette histoire récurrente de vérification d'huîtres - dont la dégustation n'a, pour l'heure, occasionné que des dégâts de souris ou des indigestions autrefois plutôt bien maîtrisées - laisse apparaître d'autres problèmes. Le premier est d'ordre économique et peut dramatiquement faire basculer l'histoire d'un pays. Le second demeure plus complexe.

Arcachon - « Les huîtres sont délicieuses » (Sud Ouest)
Les consommateurs ont acheté les huîtres sans tenir compte de l'interdiction, hier matin, en soutien aux ostréiculteurs du Bassin
Les clients étaient particulièrement nombreux, hier, au marché d'Arcachon.
Hier matin, à 7 h 30, Olivier Laban a ouvert son banc d'huîtres au marché d'Arcachon. Comme tous les matins de la semaine.
Le président démissionnaire de la section régionale conchylicole a ainsi volontairement enfreint l'interdiction de vendre les huîtres du bassin d'Arcachon, prise la veille par la préfecture de la Gironde après un résultat positif du test de la souris.
Les traits tirés, le regard sombre, Olivier Laban ne cache ni sa fatigue, ni sa lassitude : « La lettre de démission que j'ai envoyée hier au préfet, ce n'est pas sur un coup de tête ; je pouvais encore apporter des choses à la profession, mais il faut savoir se faire respecter. Pour moi, c'est un grand gâchis, c'est même un échec », explique-t-il en sortant de sa poche plusieurs mails de soutien reçus depuis la veille.

Vente d'huîtres interdite : le préfet de la Gironde appelle à la vigilance (AFP)
Le préfet de la Gironde, Dominique Schmitt, a estimé jeudi que les consommateurs s'exposent à "des risques sanitaires réels" s'ils consomment des huîtres ou des moules du bassin d'Arcachon interdites par arrêté mercredi, les appelant dans un communiqué à "la plus grande vigilance". A la suite de tests biologiques positifs réalisés sur des souris, le préfet a interdit mercredi la pêche, le ramassage, le transport, le stockage, l'expédition, la vente et la consommation des huîtres et moules du bassin d'Arcachon. Mais certains ostréiculteurs ont annoncé leur décision de braver l'interdiction. Le Préfet rappelle aux producteurs et aux vendeurs "qu'ils engagent leur responsabilité si des personnes venaient à connaître des problèmes de santé liés à une consommation d'huîtres ou des moules concernées par la mesure d'interdiction". "Les éventuelles infractions à l'arrêté préfectoral du 22 juillet seront constatées par les services de l'Etat et feront l'objet d'une transmission au procureur de la République", a-t-il ajouté. Selon le préfet, "le respect de l'interdiction conditionne la crédibilité de la filière ostréicole aux yeux des consommateurs". Le ministre de l'Alimentation et de la Pêche, Bruno Le Maire, a de son côté estimé jeudi que ce n'était "pas l'intérêt" des ostréiculteurs d'Arcachon de vendre des huîtres malgré l'interdiction qui les frappe depuis mercredi. Il s'agit de la quatrième interdiction depuis mai touchant la filière ostréicole du bassin d'Arcachon. Les prochains prélèvements seront pratiqués les 24 et 27 juillet, les résultats seront connus le 29 juillet.

Interdiction des huîtres et des moules (Vie Femme)
A la suite de tests biologiques positifs, le Préfet de la Gironde a interdit, le 22 juillet 2009, la pêche, le ramassage, le transport, le stockage, lexpédition, la vente et la consommation des huîtres et moules en provenance du bassin d’Arcachon.
Cette mesure réglementaire est prise sur le fondement du test dit de la souris , qui reste aujourd’hui le seul moyen disponible pour garantir la sécurité sanitaire et alimentaire des consommateurs. Le Ministre de l’Agriculture a réaffirmé aujourdhui sa détermination pour envisager la mise en place d’un test alternatif, capable d’apporter davantage de précisions sur les causes de toxicité des coquillages et sur leurs conséquences sur la santé humaine. Ainsi, une réunion a déjà eu lieu à Bruxelles le 15 juillet, et une conférence scientifique européenne aura lieu le 10 septembre. Mais dans cet intervalle, le test de la souris doit être considéré comme le seul moyen disponible pour garantir la sécurité sanitaire des consommateurs.

Le poisson d’aquaculture est-il moins bon ?
L’étude Nutraqua* a confirmé que c’est l’espèce, et non la provenance (pêche ou pisciculture) qui déterminait la composition nutritionnelle des produits aquatiques. C’est pourquoi les poissons d'aquaculture ne sont pas toujours plus gras que les poissons de pêche, contrairement à une idée reçue.
Ca c’est ce que déclare le communiqué de presse des 2èmes Journées de la Recherche Filière Piscicole (Juillet 2009). Or le site de l’ONG Greenpeace évoque d’autres aspects, notamment celui des antibiotiques : « Comme avec toutes les formes d'élevage intensif d'animaux, la forte concentration de saumons dans chaque filet favorise la transmission de maladies. Il est courant d'administrer régulièrement des antibiotiques aux poissons d'élevage en l'ajoutant à leur nourriture afin de les protéger des maladies ».

Islande/UE: la presse salue le vote, pêcheurs et agriculteurs critiques (AFP)
Les deux principaux quotidiens islandais ont salué vendredi le vote du Parlement autorisant le gouvernement à négocier son adhésion à l'Union européenne mais les secteurs de la pêche et de l'agriculture ont renouvelé leur opposition à cette candidature. Pour l'éditorialiste du journal libéral Morgunbladid, l'adhésion à l'UE favorisera "la résurrection de l'économie islandaise" tandis que pour l'autre quotidien de l'île, Frettabladid, ce vote donne de l'"espoir pour des temps meilleurs". "C'est le début d'un processus long et ardu dans une question controversée", commente Morgunbladid. L'autre quotidien libéral, Frettabladid, dans un éditorial intitulé "le futur et le passé", estime que "l'Islande d'hier et l'Islande de demain s'affrontent". Ainsi, souligne-t-il, le Syndicat des agriculteurs et la Fédération des armateurs de bateaux de pêche d'Islande regrettent le vote tandis que la Confédération des syndicats s'en réjouit.

La candidature de l'Islande à l'UE promet un bras de fer sur la pêche (AFP)
L'Islande, qui a déposé formellement jeudi sa candidature d'adhésion à l'Union européenne, espère devenir membre d'ici 2012, mais les négociations pourraient s'avérer plus compliquées que prévu sur les dossiers très sensibles de l'agriculture et surtout de la pêche. Le ministre islandais des Affaires étrangères Össur Skarphedinsson a remis la demande islandaise à son homologue suédois Carl Bildt, dont le pays préside l'Union depuis le 1er juillet, lors d'une cérémonie à Stockholm. L'Islande, membre de l'espace Schengen et de l'Espace économique européen, applique déjà près de trois quarts des directives européennes, ce qui devrait accélérer le processus. Mais le ministre islandais a reconnu que les négociations pourraient être plus compliquées.

Afrique de l'Ouest: plus de 146 MEUR de l'Uémoa pour protéger les côtes (AFP)
L'Union économique et monétaire ouest africaine (Uémoa) a annoncé mardi le lancement d'un programme régional de cinq ans financé à hauteur de 96 milliards de FCFA (plus de 146 millions d'euros) pour lutter contre l'érosion des côtes maritimes en Afrique de l'Ouest. "L'Uémoa a lancé cette année un programme régional de lutte contre l'érosion du littoral en Afrique de l'ouest. C'est un programme de cinq ans que nous finançons pour la période 2009-2015", a déclaré à l'AFP, le directeur de l'eau et de l'environnement à la Commission de l'Uémoa à Ouagadougou, Malick Diallo. Ce programme touche cinq des huit pays membres de l'Uémoa ayant accès à la mer: Bénin, Côte d'Ivoire, Guinée Bissau, Sénégal et Togo.

Deux bateaux de pêche italiens interceptés par les autorités libyennes (AFP)
Deux bateaux de pêche italiens, avec 14 personnes à bord, ont été interceptés mercredi en mer par les autorités libyennes qui les ont conduits dans le port de Homs où ils sont immobilisés, a indiqué à l'AFP un responsable du port italien de Mazara del Vallo où ils sont immatriculés. "Ils ont été interceptés à l'aube mercredi matin par une vedette libyenne qui les a emmenés au port de Homs. Nous ne savons encore rien de précis sur les raisons de cette saisie", a indiqué un porte-parole de la Capitainerie du port de Mazara del Vallo (côte nord-ouest de la Sicile). Les deux bateaux, le "Tulipano" et le "Monastir", comptent chacun sept pêcheurs à bord, dont plusieurs de nationalité tunisienne. Plusieurs autres bateaux de pêche italiens - un en 2009 et deux en 2008 - ont déjà été arraisonnés par les autorités libyennes dans une zone contestée, considérée par Tripoli comme de sa compétence exclusive. Dans l'un des cas, les pêcheurs et leur bateau avaient été retenus quarante jours dans un port libyen avant d'être autorisés à retourner en Sicile.

Sur le Tara, ils veulent percer le mystère du plancton (Ouest France)
Johan Decelle est doctorant chercheur à la station biologique de Roscoff. Il est l'un des neuf scientifiques finistériensqui participent à l'expédition internationale Tara Océans.
Une équipe de la station biologique de Roscoff se prépare pour l'expédition Tara Océans.Le voilier va parcourir les mers du Globe, à partir de septembre. Une grande aventure scientifique.
« Nous allons relever des échantillons de plancton dans tous les océans, et établir un catalogue de la biodiversité jamais vu jusqu'ici. » Johan Decelle, doctorant chercheur à la station biologique de Roscoff (Finistère), a les yeux qui pétillent. Comme huit autres membres du groupe de recherche sur l'évolution du plancton, le jeune homme va participer à l'expédition Tara Océans.

Le combat de Ma Jun contre la pollution de l'eau en Chine (Le Monde)
Ancien assistant à Pékin du journal hongkongais South China Morning Post, Ma Jun s'est fait connaître en 1999, avec son ouvrage La Crise de l'eau en Chine. Aujourd'hui, trois ans après son lancement, le site de l'IPE répertorie près de 32 000 contrevenants à la législation sur la pollution de l'eau, et plus de 13 000 dans le domaine de la pollution atmosphérique. 1,7 million de visiteurs ont été comptabilisés depuis juin 2008. Le moteur de recherche de l'IPE, qui permet, en indiquant le nom d'une usine, d'avoir accès à son "casier judiciaire" écologique, est en train de devenir une référence : "Nos informations sont de source publique. Elles viennent soit des bureaux locaux de protection de l'environnement, soit des médias. Le renforcement en Chine, l'année dernière, des mesures sur la transparence des informations relatives à l'environnement a eu un effet de catalyseur, la quantité d'information disponible sur la pollution s'est accrue de manière exponentielle", explique Ma Jun.

Une maladie mortelle décime les poissons du fleuve Zambèze (FAO)
Elle pourrait se propager à d’autres parties de l’Afrique
Des milliers de personnes tirent leurs ressources de la pêche sur le fleuve Zambèze
21 juillet 2009, Rome - Une maladie mortelle est en train de décimer les stocks ichtyques du bassin fluvial Zambèze, mettant en péril la sécurité alimentaire et les moyens d'existence des populations rurales dans cette vaste zone partagée par sept pays, avertit aujourd'hui la FAO.

La qualité des cours d'eau français s'améliore sauf pour les nitrates (Actu-Environnement)
Les cours d'eau français semblent moins pollués par la pollution organique et phosphorée mais les nitrates restent un sujet de préoccupation majeure. En baisse dans les bassins à dominance agricole, ils augmentent sur le reste du territoire.

A quand la nouvelle vague ? (BE)
Prévoir l'amplitude des phénomènes marins extrêmes d'un lieu donné (vague géante, coup de vent violent, montée subite du niveau de la mer), est indispensable à la conception des ouvrages maritimes adaptés qui protègent au mieux les infrastructures côtières et les hommes. L'Instituto de Hidráulica Ambiental (Université de Cantabrie, Santander) est particulièrement actif dans ce domaine. Cet Institut, appelé IH Cantabria, créé en 2007 et dirigé par le professeur Iñigo Losada Rodriguez, compte actuellement 90 personnes et devrait accueillir à termes 200 chercheurs.

Industriels contre Verts : la bataille du lobbying (Le Monde)
Pesticides, OGM, agrobusiness, énergies renouvelables... La fièvre du lobbying monte sur tous les sujets concernant l'environnement, aux Etats-Unis comme en Europe. Depuis l'adoption par l'Union européenne, en 2008, du paquet énergie-climat et à l'approche de la négociation de Copenhague en décembre, le réchauffement climatique et ses conséquences sur les industries concentrent une grande part de l'énergie des groupes de pression du monde entier.

Le carburant à base d'algues séduit les industriels (AFP)
Face à un pétrole cher et qui se raréfie, des industriels américains parient sur les algues, même s'il faudra plusieurs années encore avant que ce biocarburant "bleu" n'atteigne les réservoirs des automobiles. Deux groupes de premier plan viennent d'annoncer coup sur coup des investissements conséquents dans cette énergie en devenir: Dow Chemical s'est associé à Algenol Biofuels et le géant pétrolier ExxonMobil va apporter sa force de frappe financière à l'entreprise de biotechnologies Synthetic Genomics du célèbre scientifique-entrepreneur J. Craig Venter. Le premier groupe pétrolier mondial, réputé récalcitrant aux énergies renouvelables, va y investir 600 millions de dollars.

Etang de Thau - La plagette de Mèze fermée hier (Midi Libre)
Le maire de Mèze a, jeudi soir, été contraint de prendre un arrêté de fermeture de la plage de la commune, sise non loin du coeur de la cité conchylicole en bordure de l'étang de Thau.
Un arrêté pris suite à des analyses de la Ddass (direction départementale des affaires sanitaires et sociales) ayant semble-t-il révélé une pollution localisée aux coliformes, mais que contrediraient les résultats des auto contrôles réalisés régulièrement par la SDEI (Société de gestion des eaux intercommunales) à la demande de la Ville. Le vent de secteur sud-est aura certainement contribué à ces mauvais - ou tout au moins douteux - résultats. Hier, le drapeau rouge flottait donc sur cette plage atypique du bassin de Thau, alors que de nouvelles analyses étaient en cours, qui pourraient décider d'une réouverture rapide du site aux baigneurs.

Améliorer la qualité des eaux (Semaine dans le boulonnais)
L'appareil relève des mesures toutes les 15 minutes.
L'Ifremer a installé, depuis le 1er juillet, une station de mesure autonome dans le port de Boulogne-sur-Mer, afin de suivre l'évolution de la température et de la salinité des eaux.
Avec cette étude, les scientifiques souhaitent établir un modèle permettant de relier l'évolution des courants avec la concentration en bactéries.
« Cela doit permettre d'identifier les circonstances favorisant des épisodes de contamination microbiologique et de proposer en conséquence des plans de gestion adaptés », explique Alain Lefebvre, responsable du Laboratoire Environnement côtier & Ressources aquacoles du laboratoire environnement côtier de l'Ifremer.
D'ici un ou deux ans, en partenariat avec Veolia-eau,

Pickenpack-Gelmer : bras de fer entre personnel et direction (La semaine dans le boulonnais)
Quatre licenciements ont mis le feu aux poudres zone de la Trésorerie à Wimille
Une partie du personnel qui a entamé un bras de fer avec la direction pour qu'elle revienne sur sa position.
Le licenciement, injustifié selon l'intersyndicale, de quatre membres du personnel de la société Pickenpack-Gelmer a déclenché immédiatement un débrayage de l'ensemble du personnel de production
Jeudi dernier, à 11h30, l'équipe du matin de la société Pickenpack-Gelmer située zone de la Trésorerie à Wimille, a cessé le travail.
Que s'est-il donc passé ? Quatre membres du personnel sont venus leur annoncer qu'ils venaient de recevoir leur lettre de licenciement pour faute grave.

La langoustine : Une demoiselle très courtisée (Finistère Hebdo)
Elle est l'un des crustacés préférés des Français et abonde tout particulièrement l'été. La langoustine est quotidiennement débarquée dans les quatre ports bigoudens et celui de Concarneau.
En fin d'après-midi, les quais des ports bigoudens sont envahis par les touristes. Après avoir assisté au débarquement de la pêche, ils risquent un œil dans la criée… et filent ensuite à la poissonnerie la plus proche pour y acheter l'un des poissons aperçus sous la halle à marée et surtout des langoustines. Le succès de la demoiselle — comme on l'appelle parfois dans le pays bigouden — ne se dément pas, "tout au long de l'année, les clients m'en demandent. La langoustine est incontestablement l'un des produits phares du Finistère. C'est un produit noble facile à travailler", constate Jean-Charles Arhuro, propriétaire et chef cuisinier au Kériolet, à Douarnenez.
La nephrops norvegicus

Les caprices de dame sardine (Finistère Hebdo)
Au cours des siècles (la Conserverie douarneniste Chancerelle vient de fêter les 150 ans !), le petit poisson d’argent a fait bien des heureux et causé bien des malheurs dans les ports de Cornouaille. Aujourd’hui, le consommateur redécouvre cette dame capricieuse au grand bonheur des conservateurs et des marins.
La sardine est une coquette. Elle a la taille fine, la robe délicieusement argentée, l’œil pétillant… C’est aussi une polissonne, une capricieuse. Tantôt là, tantôt absente, dame sardine est versatile. En banc de milliers de consœurs, elle nage entre deux eaux. Le jour entre 30 et 55 mètres de fond, la nuit entre 15 et 40 mètres. Ses lieux de villégiature ? Les côtes de l’Atlantique nord-est jusqu’à l’Ecosse et la Norvège où elle se fait néanmoins plus rare. Les côtes françaises, qu’elle fréquente avec assiduité, comme celles du Portugal, du Sénégal sans oublier tout le bassin méditerranéen.

Marché couru - A Rochefort (17), une véritable vitrine de la mer (Sud-Ouest)
Annie Esnard, sur son banc avec son homard.
Les commerçants l'affirment sans rire : le marché de Rochefort est le plus beau, le plus grand, « le moins cher »... On ne peut pas leur en vouloir. Sans nul doute, c'est un grand marché dont les commerçants investissent une très grande halle ainsi que toute une avenue. Et c'est vrai que les prix sont très convenables, pour une belle qualité.
Sous la halle, les étals de poissons et de crustacés envahissent une bonne partie de l'espace. Un vrai marché de la mer, en somme. « Regardez comme c'est beau, c'est vivant », s'amuse Annie Esnard en brandissant un homard dont les pinces frétillent. « Cela fait quarante-cinq ans que je suis dans le poisson. Et ma famille tient ce banc ici depuis vingt ans. Nous avons des clients de tout le département. Des Rochelais notamment, qui viennent faire des stocks. » Elle travaille beaucoup avec les ports de Royan, La Cotinière ou La Rochelle, mais aussi ceux de Bretagne et d'Arcachon.
« La spécialité de ce marché, c'est aussi la vente de produits de saison et de chez nous. La sardine, par exemple, ne vient pas de Méditerranée », commente également Christophe Doirat. Un voisin. Un nouveau, « depuis deux ans ».

Conserve de poissons - Chancerelle s’adapte au marché (Finistère- hebdo)
La conserverie douarneniste s’oriente vers des produits de niche pour conserver à sa marque Connétable et à ses produits de marques de distributeurs leur place sur le marché.
La conserverie douarneniste Wenceslas Chancerelle adapte progressivement son offre pour faire face aux effets attendus de la réforme de la loi Galland sur les marges arrières, qui donneraient plus de place aux marques de distributeurs (MDD) dans les rayons au détriment des marques nationales.
Si la vieille conserverie – 70 millions de boîtes commercialisées dont 40 à 45 millions fabriquées à Douarnenez et les autres achetées hors de France –, est connue en France pour sa marque Connétable, leader des marques nationales dans l’Hexagone en sardines entières (23,5 % de parts de marché ou Pdm), ou encore en thon tropical à l’huile d’olive (67 % de Pdm), elle intervient également en MDD.

Pays bigouden. Un parc d'activités halieutiques (Le Télégramme)
La communauté de communes du Pays bigouden sud (29) offrira, dès la fin de l'année, une surface de six hectares aux entreprises, à deux pas du port de pêche du Guilvinec. Un nouveau parc d'activité pas comme les autres : les 13 lots seront dédiés aux activités innovantes et à forte valeur ajoutée, notamment dans la transformation et la valorisation des produits et coproduits de la filière pêche. Un pari sur l'avenir, compte tenu de la conjoncture.

Fécamp - Une réglementation stricte de la pêche de plaisance (Paris Normandie)
Un document papier explique comment effectuer le marquage des captures
Les pêcheurs plaisanciers doivent dorénavant couper la nageoire codale de la queue de leurs prises avant de les débarquer.
Trois quarts des 800 anneaux que compte le port de plaisance de Fécamp sont occupés par les petits bateaux de pêche-promenade, d'où l'importance de la bonne circulation des informations sur la réglementation en matière de pêche maritime de loisir et principalement en période estivale.

Granville - Le Grand Pardon de la mer fête ses 60 ans (Manche Libre)
Il est des traditions à respecter. Le 60e Grand Pardon, qui se déroulera ce dimanche 26 juillet, est l’une d’entre elles. Loin d’être un événement banal, il est avant tout un moment de spiritualité et de ferveur hors du commun autour du monde la mer.
Depuis soixante ans, les Granvillais lui sont restés fidèles. Qu’il pleuve ou qu’il fasse grand soleil, rien ne les a jamais empêchés de prier Notre-Dame du Cap-Lihou devant la criée ou encore le soir, en l’église Notre-Dame.
La présence d’un remorqueur

Des conseils pratiques aux pêcheurs de la côte (Ouest France)
Selon la Fédération des pêcheurs plaisanciers, la pêche plaisance représente 1 à 2 % du tonnage national. Des associations écologistes avancent des chiffres bien plus élevés.
Les amateurs de pêche en bord de mer peuvent participer à la protection du littoral. Le détail des pratiques raisonnables de la pêche loisirs.
12 % de la clientèle touristique en Côtes-d'Armor est attirée par la pêche sur l'estran et en mer. Avant de fureter sur le littoral, il est préférable de connaître quelques règles élémentaires... et écologiques. La première est de préparer sa sortie : se renseigner sur les dangers du site et la réglementation en vigueur selon les espèces. Bien pêcher, c'est aussi s'assurer du classement de salubrité de la zone, connaître l'horaire des marées, les prévisions météo... Et ne jamais partir seul.
Pêche à pied

Lannion - à marée basse, les pêcheurs sont de sortie (Ouest France)
La pêche à pied est d'abord l'occasion d'une sortie familiale et divertissante.
La grande marée a, hier et avant-hier, attiré la foule des bassiers sur l'estran. L'occasion pour les initiés de faire le plein, et pour les profanes de prendre un bon bol d'air.
23 et 24 juillet : voilà des dates cochées depuis longtemps sur les calendriers des passionnés de pêche à pied. Coefficients 105-106 en plein été : pas de doutes, l'estran va fourmiller de fouilleurs des sables. Goas-Trez à Trébeurden, et Landrellec à Pleumeur-Bodou, sont deux postes d'observation tout trouvés.

Sables d'Olonne - Allons pêcher sur la plage les jolis pignons (Ouest France)
À marée basse, on gratte le sable pour déloger le pignon, de son vrai nom donax, petit coquillage bivalve vivant sur les estrans sableux.
Armés d'outils ou à mains nues, les amateurs du précieux coquillage sont nombreux à gratter le sableà marée basse. Une vieille tradition aux Sables-d'Olonne.
« Pigne, gratte, pigne, gratte, la coquille est au sillon, pigne, gratte, pigne, gratte, pêchons nos jolis pignons. » C'est une vieille chanson du folklore sablais qui y invite. Et il y a toujours des candidats ! Chacun avec sa méthode. Céline, sarthoise d'origine vendéenne, exécute la danse des pignons. Elle foule le sable de ses pieds qu'un joli déhanchement fait s'enfoncer. Dérangés, les coquillages pointent leur nez, Il n'y a plus qu'à se baisser pour les ramasser. Efficace et gracieux. Manquent les cotillons. Et les compagnons. « Autrefois, les anciens se mettaient en ligne et remuaient ainsi les pieds. Ils étaient nombreux et les coquillages ne pouvaient d'échapper. »
Et cela commence avec un dénicheur de homards : « J'ai repéré leur refuge il y a quelques mois. J'y avais trouvé un homard.

Cherbourg - Trois phares classés Monuments historiques (Ouest France)
La Direction régionale des affaires culturelles de Basse-Normandie, Drac, a classé Monuments historiques trois phares du département : celui de Goury (notre photo), à Auderville ; du Cap Lihou à Granville et Chausey.
Allumé le 1er novembre 1837, le phare de Goury a été classé en raison de « sa qualité architecturale néo-classique adaptée à sa fonction et à son site ». Chausey eut son phare en 1847. La Drac retient qu'il constitue « un exemple assez exceptionnel par la qualité de l'architecture et de l'aménagement intérieur du phare ». Quant au phare de Granville est « l'un des plus anciens de France encore en activité » car appartenant à la première période du programme général d'éclairage des côtes de France (construit entre août 1827 et l'automne 1828) et « il est l'un des rares à posséder des intérieurs de cette qualité ».
Celui de Gatteville est classé depuis 2006.

Lège-Cap-Ferret - Pêche miraculeuse (Sud-Ouest)
Hier, trois amis pêcheurs sont rentrés de leur virée sur le Bassin avec deux... chevreuils et pas un seul poisson
Un bateau, trois copains, deux chevreuils et pas un poisson. Le résultat d'une pêche atypique, hier sur le Bassin.
Ils étaient partis à bord de leur bateau pneumatique pour une petite partie de pêche. Mais ce lundi matin (hier), il était dit que leur pêche ne ressemblerait pas aux autres. Ils naviguaient tranquillement à deux miles nautiques au large du Cap-Ferret lorsqu'ils ont vu venir vers eux deux chevreuils ! Et si ces magnifiques animaux sont réputés pour être très sauvages, là, aucun doute, ils semblaient solliciter l'aide des humains, tel un ultime espoir de sauvetage.

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Qui êtes-vous ?

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En 1982, je suis tombé dans le grand bain des cultures marines par la porte de la formation continue. Depuis La Rochelle, j’ai accompagné des professionnels de la mer dans leur installation à la pêche ou en conchyliculture partout en France. Rapidement, l’appel du large m’a gagné. Pendant près de 30 ans, j’ai parcouru les mers du globe. Non pas sur un voilier, mais un sac au dos, de port en port, de communauté littorale en communauté de pêcheurs… En 2008, j’ai mis sac à terre. Maintenant, je voyage sur la toile, et fais voyager tous les jours des centaines d’internautes à travers mon Regard sur la Pêche et l’Aquaculture. Regard croisé avec le Collectif Pêche et Développement, une association basée à Lorient dont le but est de promouvoir un développement solidaire et durable du secteur de la pêche et de l’aquaculture.... Philippe FAVRELIERE Et maintenant sur Facebook : https://www.facebook.com/Regard-sur-la-P%C3%AAche-et-Aquaculture-320623654728433/