mercredi 22 juillet 2009

3 juillet 2009

L’économie des criées vacille et leurs responsables s’interrogent sur leur avenir. Tous pensent qu’il va falloir faire des choix. Selon Yves Herzfeld, Président de l’Association des directeurs des halles à marée, le nombre de criées va diminuer dans les 3 à 4 ans qui viennent.
Le Marin

Sécurité en mer - Projection de deux films d’Emmanuel Audrain à Tréboul le 03 juillet 2009 à 20h30 (CLPM Le Guilvinec)
Emmanuel Audrain, cinéaste, nous propose de visionner " Attention, Hypothermie " et " VFI... La vie continue ", deux de ces réalisations. Il seront projeté à Tréboul, le vendredi 03 juillet 2009 à 20h30 à la Maison du Nautisme, dans le cadre d’une projection-débat autour de la sécurité en mer. Vous (...)

Sète : Saint-Pierre Les pêcheurs pour une grande réconciliation (Midi Libre)
Depuis 1948, le Grand Pardon de saint Pierre se veut la fête des pêcheurs. Cette fois, Pierre D'Acunto souhaite que tous les Sétois montrent leur amour pour les hommes de la mer Le climat est « moins morose » que l'année dernière, lorsque le Grand Pardon avait été suivi d'un long et douloureux mouvement de grève de la part des pêcheurs. Moins morose même si « le chalutage est au bord du précipice, sur une lame de rasoir », puisque « dans les cinq dernières années, on a perdu presque la moitié de la flotte de chaluts ». Qu'à cela ne tienne, Pierre D'Acunto, qui sera à la barre du Louis-Gaetane 2 (*) pour la sortie en mer de la statue de saint Pierre dimanche, revêtira « comme, un torero, mes habits de lumière » pour la 61 e année d'existence de cette « fête religieuse, puis fête religieuse festive et aujourd'hui fête des pêcheurs ». Un rendez-vous, qui « ouvre les festivités de l'été » à Sète et qui débutera véritablement ce soir à 21 h 35 par le transfert de la statue de saint Pierre depuis la chapelle des Pénitents à la Décanale Saint-Louis.
Et même si « la croyance n'est plus la même », le moment sera empreint d'une grande solennité, à la mesure du Grand Pardon : « Nous, les pêcheurs, on est fiers. Et moi qui m'appelle Pierre peut-être encore plus... Saint Pierre est notre protecteur. Et vous savez à quel point les pêcheurs sont très superstitieux. L'honorer, c'est un peu s'assurer que l'an prochain, on sera encore là. » Et dans ce métier qui a beaucoup évolué, avec « des bateaux plus sûrs mais des conditions de travail plus dures », le Grand Pardon constitue aussi une occasion à nulle autre pareille, pour Pierre D'Acunto : « Que les Sétois apportent un peu plus d'amour pour les marins et la pêche. » Que ses voeux soient exaucés. Yohan DOUCET
(*) Le bateau, repeint pour l'occasion en marine et blanc, a fêté hier ses 26 ans. Il avait été mis à l'eau le 2 juillet 1983.

Côtes-d'Armor - Pêche. «L'étude n'est qu'un exercice universitaire» (Le Télégramme)
Une simple enquête menée par un stagiaire au comité local des pêches de Paimpol a mis le feu aux poudres. Les représentants des plaisanciers la voient d'un mauvais oeil (Le Télégramme d'hier). Le comité local réagit. «En réaction à la position adoptée par le comité départemental des pêcheurs plaisanciers (CD22), je me permets de recadrer le but du travail d'enquête en cours que je mène actuellement au sein du comité local des pêches, explique Antonin Hubert, étudiant en école d'ingénieur, en stage au comité paimpolais. Il faut savoir que cette étude n'est qu'un exercice universitaire et non une enquête officielle. Un comité de pilotage n'a donc pas lieu d'être. Néanmoins, elle vise à améliorer les relations entre pêcheurs professionnels et pêcheurs plaisanciers. [...]Le comité local a souhaité financer cette étude pour répondre aux inquiétudes des marins-pêcheurs, à l'occasion de l'examen d'acceptabilité pour l'installation des hydroliennes. Mon enquête doit donc permettre à chacun, pêcheurs pro et plaisanciers, d'évoquer leur sentiment, et de formuler des propositions. [...]Les résultats, connus à l'automne, ne s'imposeront à personne, mais seront communiqués à tous ceux qui y ont investi de leur temps». Le jeune homme avoue regretter que les représentants du CD22 n'aient «à aucun moment chercher à me [LE]contacter pour faire part de leurs interrogations». Par souci de rigueur scientifique, Antonin Hubert avait réalisé un travail préliminaire d'élaboration des questionnaires, mené avec une trentaine d'entretiens auprès de pêcheurs plaisanciers, de professionnels, d'élus et d'administratifs. «La version finale semblait pertinente. J'ai reçu de nombreux encouragements de la part des personnes concernées, note-t-il. C'est pourquoi je ne comprends pas la réaction du CD 22. Il y a un fossé énorme entre les échanges avec les plaisanciers sur le terrain, et le discours de leurs représentants». L'enquête est toujours en cours. Pour l'heure, le taux de retour est jugé «bon». Au final, une grosse centaine de réponses au questionnaire sera analysée. «Et notre initiative intéresse vivement bon nombre de comités locaux ailleurs en France», conclut l'ingénieur en formation.

Loctudy / Lesconil - Vases. La salmonelle retarde le dossier (Le Télégramme)
Le préfet devait donnait son avis avant l'été. Recalé, le dossier d'extraction des vases de Loctudy et Lesconil prend un nouveau retard. En cause, des traces de salmonelle dans un échantillon.
Pêcheurs et plaisanciers vont, une nouvelle fois, devoir patienter. Après plus d'un an de procédure administrative par les services du conseil général, ceux de l'État viennent de recaler le dossier sur lequel le préfet devait donner son avis avant l'été. La préfecture demande des compléments d'étude au conseil général. En cause, «une petite pollution à la salmonelle d'origine terrestre et plusieurs autres points», explique Annick Le Loch, la vice-présidente du conseil général en charge de la pêche. Un nouveau mauvais coup pour le dossier. Il ne devrait pas manquer d'apporter de l'eau au moulin des pêcheurs qui s'étaient prononcés contre le clapage à quelques milles du port, puis contre la dispersion des vases dans leurs secteurs de pêche.
L'envasement continue

Réunion sur l’avenir de la pêche thonière mondiale. (ANE)
L’Union européenne va se pencher durant les prochains jours sur la question de la pêche thonière mondiale.
La Commission européenne va accueillir, au nom de l'Union européenne, des représentants de divers pays à l'inauguration de la deuxième réunion conjointe des cinq organisations régionales de gestion des pêches (ORGP) à San Sebastian, en Espagne. Cette réunion, qui fait suite à un premier événement de ce genre organisé à Kobe, au Japon, en 2007, se déroulera jusqu'au 3 juillet. Les objectifs de cette réunion de cinq jours comprennent l'évaluation des actions approuvées à Kobe, un atelier de travail sur la réduction de la surcapacité de la flotte thonière mondiale et l'approbation d'un nouveau plan d'action pour les deux prochaines années.

Mortalités d’huîtres creuses : actions de l’Ifremer
En 2008, les mortalités de juvéniles d'huîtres creuses Crassostrea gigas (nées en 2007 et 2008), ont constitué la crise la plus importante pour cette espèce depuis son introduction en France à la fin des années 60.
Face à cette crise, les équipes scientifiques de l'Ifremer se sont mobilisées afin d'en analyser les causes et de proposer des solutions. Début 2009, un observatoire conchylicole a été mis en place. Il est chargé de recueillir et de rassembler les données, et de les interpréter en lien avec les données environnementales.
Cette année, depuis mi-avril, une résurgence des mortalités de naissain, est apparue en Méditerranée, puis s’est propagée vers le Nord, touchant une grande partie du littoral français. Des analyses ont été lancées par l''Ifremer. Depuis fin mai, une cellule de crise pilotée par Jean Prou coordonne les actions de l'Ifremer.
Le constat
Les mortalités ont commencé en Méditerranée fin Avril (Corse et étang de Thau) pour apparaître ensuite en Atlantique en Mai (Arcachon, Pertuis Charentais, Vendée et Bretagne Sud). Elles ont touché la Côte Ouest du Cotentin la deuxième semaine de Juin et depuis, se sont étendues à l'ensemble de la Normandie, à partir de la baie du Mont-Saint-Michel. Suite sur le site d’Ifremer….

Arcachon - Les huîtres sont bonnes (Sud-Ouest)
Elles sont de nouveau autorisées à la vente. Jusqu'à jeudi prochain
Les ostréiculteurs ont passé la journée devant la sous-préfecture, bloquant l'accès au centre de la ville.
Hier matin, une centaine d'ostréiculteurs du bassin d'Arcachon se sont retrouvés, peu avant 9 heures, devant la sous-préfecture d'Arcachon. Ils ont placé plusieurs de leurs camions en travers de la route, bloquant ainsi toute la journée cet accès au centre-ville.

Arcachon - Le préfet cherche une autre solution (Sud-Ouest)
Le préfet de région Dominique Schmitt a confirmé hier aux ostréiculteurs le refus, par les autorités sanitaires et l'état, de valider le test du rat, à la suite d'une réunion interministérielle. Il serait insuffisant puisqu'il permet de contrôler seulement la présence de 3 toxines sur 5 dans le coquillage. Ce test est pourtant pratiqué aux Pays-Bas, et le gouvernement français va donc s'assurer que ce pays n'exporte pas en France de coquillages, notamment des moules, qui subissent uniquement ce test. « Je peux comprendre l'exaspération de la profession. Mais nous devons travailler côte à côte, et non pas être face à face. En tant que préfet, je dois assurer un équilibre entre la problématique de la santé des consommateurs et la viabilité économique d'une profession. Pour sortir de cette situation, je suis prêt à m'impliquer pour faire valider un autre protocole de test que la souris, et notamment les tests chimiques. »

Les huîtres du bassin de nouveau comestibles (FR3)
Les ostréiculteurs dans l'attente des résultats des tests jeudi matin à Arcachon
Les huîtres sont commercialisables. Pas les moules. Et pas question pour l'heure de remettre en cause le test souris.
C'est une bonne nouvelle très nuancée pour les ostréiculteurs du bassin d'Arcachon. Les tests de cette semaine sont bons et permettent la reprise de la vente. Mais ils espéraient voir abandonner le test décrié de la souris au profit de celui sur les rats, expérimenté cette semaine.
D'autant que souris et rats ont donné des résultats contradictoires la semaine dernière. Alors que les souris sont mortes, avec les mêmes prélèvements les rats n'ont pas été malades...
Mais l'agence française de sécurité des aliments refuse de généraliser le test du rat, il ne garantirait pas "le même niveau de sécurité pour le consommateur que celui apporté par le test souris".

Crevette de Madagascar - Le bilan carbone en long et en large ce 1er juillet (Tribune)
Environnement à la Banque mondiale à Anosy
Dans le langage complexe de la protection de l’environnement et de lutte contre l’effet de serre dans un milieu donné, dans les entreprises et au niveau des activités économiques, on parle du « bilan carbone » comme étant le premier pas vers une démarche environnementale responsable. Le cabinet Carbone 4, l’Agence française de développement et d’autres organismes plus spécifiques, ont décidé avec la Banque mondiale d’organiser une séance de visio-conférence d’information au sujet du « bilan carbone » : à quoi çà sert, comment çà marche, et quels sont les différents enjeux liés à la thématique carbone. A l’issue de cette séance d’information qui se déroulera ce 1er juillet 2009 en la « Salle Antananarivo » du siège de la représentation de la Banque mondiale à Anosy, on comprendra mieux ce qu’est une dépendance énergétique dans le futur et ses conséquences économiques.

Les moules de Zélande dans les magasins dès jeudi (rtbf)
Les premières moules de Zélande débarquent dès ce 2 juillet dans les grandes surfaces, avec deux semaines d'avance par rapport à l'an dernier. Ces moules sont de très bonne qualité et le pourcentage de leur chair est plus important qu'en 2008.
"Les moules de Zélande sont cette année de très bonne qualité", a indiqué Véronique Korosmezey, en charge de la communication pour l'organisation des producteurs de moules néerlandaises. "Le pourcentage de chair de ces moules, qui est traditionnellement de 24 ou 25%, atteint cette année les 27%."
En outre, les moules de Zélande débarquent en Belgique avec deux semaines d'avance par rapport à l'an dernier. "Cette arrivée est liée à la météo et aux courants marins", souligne Véronique Korosmezey. "Le froid de cet hiver a sans doute tué les bactéries", ajoute-t-elle.
La date de l'ouverture de la saison des moules de Zélande est déterminée par la criée de Yerseke aux Pays-Bas, qui s'est tenue la semaine dernière et où a été établi le prix de gros. Celui-ci est de l'ordre de 5 euros le kilo pour les moules Jumbo. "Les magasins déterminent cependant eux-mêmes le prix des moules en fonction des marges qu'ils souhaitent en retirer", précise Véronique Korosmezey.

Morbihan - Plus de 2 tonnes de déchets ostréicoles dans une zone de mouillage (Le Télégramme)
La mairie de l'Ile-aux-Moines a dû faire nettoyer à ses frais une zone de mouillages à l'est de la commune, encombrée par des déchets ostréicoles. En septembre dernier, un plaisancier avait signalé au maire de l'île que son mouillage était totalement inaccessible, car bloqué par un amalgame de tables ostréicoles. La municipalité a écrit à la section régionale de conchyliculture qui devait s'occuper du problème. «Comme rien n'a encore été entrepris et que la saison démarre, nous avons dû faire venir à nos frais, 5.000€, une entreprise qui a sorti 2,5 tonnes de déchets ostréicoles sur une zone de 8m, à la Pointe de Brouel», déploreJean Pressard.

Signature d'un protocole d'accord entre le Maroc et le Chili en matière de pêche maritime et d'aquaculture
Le Maroc et la République du Chili ont signé jeudi à Agadir un protocole d'accord pour l'application du mémorandum d'entente visant à renforcer la coopération bilatérale dans le secteur de la pêche maritime et de l'aquaculture.
Ce protocole a été signé par le ministre de l'Agriculture et de la Pêche maritime, M. Aziz Akhannouch et le sous-secrétaire des Pêches de la République du Chili, M. Jorge Chocair Santibanez, en présence du secrétaire général du Département des Pêches maritimes, M. Mohamed Tarmidi et de l'ambassadeur du Chili au Maroc, Mme Marcia Covarrubias.
Les axes de coopération ciblés par ce protocole portent essentiellement sur l'assistance et l'échange d'expériences et d'expertises particulièrement en ce qui concerne les systèmes d'information géographiques, l'intégration aquaculture-pêche par le développement d'activités de pacage marin (Sea ranching), l'aquaculture, l'algoculture, la valorisation des produits de la pêche notamment les petits pélagiques et la modernisation de la flotte de pêche, indique un communiqué du ministère de l'Agriculture et de la Pêche martime.

Algérie - Aquaculture : Ensemencement aquacole de bassins d'irrigation pour fertiliser les sols à Ain Temouchent.
Une opération d'ensemencement aquacole des bassins d'irrigation agricoles de la wilaya de Ain Temouchent, visant à fertiliser les sols, a été lancée à Ain Temouchent. Irriguée par des eaux de bassins aquacoles, la surface agricole sera davantage fertilisée, plus riche en nutriments des poissons ensemencés, notamment le Tilapia, une espèce de poisson ramené d'Egypte.
Lancée par les directions de la pêche et des services agricoles, sous l'égide du centre national de recherche pour le développement de la pêche et de l'aquaculture (CNRDPA) de Bou Ismail (Tipasa), cette action concerne, selon la direction de la pêche, une dizaine de bassins disséminés à travers la wilaya et où un millier d'alevins de Tilapia ont commencé à être ensemencés à partir de mardi dernier.
Une campagne de sensibilisation des fellahs a été menée par ses initiateurs qui ont expliqué les bienfaits de l'aquaculture pour l'irrigation des terres agricoles.
Les effets de ces eaux sur l'augmentation de la production agricole seront, rapidement observés, a-t-on assuré, soulignant que "les nutriments et les rejets des poissons constituent de véritables engrais pour la terre". Les agriculteurs bénéficieront, en outre, des produits aquacoles ensemencés dans leurs bassins, ce qui leur assurera des recettes supplémentaires et contribueront ainsi aux efforts de développement de la production halieutique.
Cette opération contribuera, également, à la protection de l'environnement et la lutte contre la pollution, puisque les fellahs utiliseront moins de produits chimiques dans le travail de leurs terres, a-t-on ajouté.
La direction de la pêche et des ressources halieutiques de la wilaya a lancé, en parallèle, une action d'analyses physico-chimiques des bassins d'irrigation.
Cette action sera, ensuite, généralisée à l'ensemble des bassins de la wilaya, ainsi qu'au niveau des retenues collinaires de Oulhaça et de Sidi Ben Adda

La vie sauvage, plus meurtrie que jamais (Effets de Terre)
Qu’est ce qu’on fait? La lecture du dernier rapport de l’UICN sur les extinctions massives d’espèces est bien déprimante. Les experts ont passé en revue le devenir de 44838 espèces, et 38% sont menacées d’extinction. Un taux qui varie bien évidemment suivant les espèces. Certains font froid dans le dos

Finistère - Guerlesquin. Mortalité massive de goélands argentés (Le Télégramme)
Ces derniers jours, des goélands argentés ont été trouvés morts ou agonisants sur les rives du plan d'eau du Guic, à Guerlesquin. Les services techniques de la mairie sont aussitôt intervenus pour ramasser les cadavres et les faire analyser. Selon Pierre Ménez, adjoint au maire de Guerlesquin chargé de l'environnement, docteur vétérinaire et président du Pôle-Relais national de pathologie de la faune sauvage, ces mortalités sont dues à une épidémie de botulisme hydrique provoquée, en été et par forte chaleur orageuse, par le développement et l'ingestion de bactéries toxinogènes. En général, seules les espèces dites «détritivores» sont affectées (oiseaux qui fouillent dans la vase), tels que les colverts, hérons, foulques, mouettes rieuses, goélands ou grèbes. Ce phénomène est assez courant durant la période estivale, sur l'ensemble des plans d'eau du territoire national. Il ne présente aucun danger pour la population puisque ces oiseaux n'ont aucune vocation culinaire.

Côtes-d'Armor - Saint-Cast-le Guildo. Naissance d'un nouveau quartier (Le Télégramme)
Hier, le nouveau port de Saint-Cast-le-Guildo a été officiellement inauguré en présence de nombreuses personnalités, dont notamment le président du conseil général des Côtes-d'Armor, Claudy Lebreton. Tous les intervenants ont rendu un hommage unanime aux techniciens et hommes de terrain, «qui ont oeuvré pour ce chantier pharaonique, travaillant jour et nuit», selon les mots du maire de Saint-Cast-le-Guildo, Jean Fernandez.
Yann Eliès parrain du port

Top 10 des produits alimentaires les plus recherchés sur le Net : le saumon 10ième (La Dépêche)
Chaque mois, Relaxnews, en partenariat avec le portail de la gastronomie Keldelice.com, établit un classement des dix produits alimentaires et recettes les plus recherchés sur Internet. Depuis la création de ce baromètre il y a quatre mois, le macaron n'a jamais cédé sa place de numéro un.
Le classement ne bouge pratiquement pas ce mois-ci. Seul le saumon fait une entrée difficile à la dernière place. Dans le trio de tête, la bière et les crêpes intervertissent leurs places.

Les poissons du Québec sont-ils sûrs? (Cyberpresse ca)
Au menu des grandes tables ou dans un chalet de pourvoirie, les poissons du Québec font belle figure. On les apprête plus souvent et mieux, mais sont-ils sûrs?
Chose certaine, le Guide de consommation de poisson de pêche sportive du gouvernement du Québec n'a rien pour ouvrir l'appétit des amateurs. La liste des BPC, DDT et parasites qui se retrouvent possiblement dans cette belle truite à l'oseille donne plutôt envie de se tourner vers l'épluchette de blé d'Inde...
Les chercheurs s'intéressent toutefois beaucoup plus au mercure, car consommé en grandes doses, ce métal est fort dangereux. Comme la moitié du mercure en circulation provient de sources naturelles et qu'il peut être transporté sur de très grandes distances, il se retrouve inévitablement dans les lacs québécois. Même dans ce petit lac isolé, accessible uniquement par hydravion.

Tunisie : 2,6 millions de dinars pour le projet tuniso-italien de valorisation de la richesse halieutique du Nord-Ouest (Investir)
Le projet tuniso-italien pour l'exploitation et la valorisation de la richesse halieutique et naturelle du Nord-Ouest (gouvernorats de Jendouba, Béja, le Kef et Siliana) dont le coût est estimé à 2,6 millions de dinars, vise à soutenir les efforts de développement régional, à travers la création de nouvelles activités économiques dans le secteur de l'aquaculture d'eau douce. Les composantes de ce projet a pour objectif l'implantation d'une unité pilote pour la reproduction du Mulet et de l'Anguille et la formation de techniciens et de familles rurales dans le domaine de la pêche et de l'exploitation des poissons d'eau douce.
Ce projet a été présenté dans le cadre d'une conférence tenue, mardi 30 Juin, à Tabarka, à l'initiative du groupement interprofessionnel des produits de la pêche en collaboration avec l'organisation non gouvernementale italienne de coopération pour le développement des pays émergents "COSPE".
Ouvrant cette conférence, M. Abderrazak Daaloul, secrétaire d'Etat, chargé de la Pêche, a passé en revue les mesures et incitations décidées par l'Etat au profit des professionnels du secteur.
La moyenne de production du secteur de la pêche au cours des trois dernières années a atteint près de 108 mille tonnes. Elle a permis d'engranger 220 millions par an et de créer 100 mille postes d'emploi directs et indirects.
La politique nationale dans ce secteur, a-t-il rappelé vise à protéger la richesse halieutique et développer la pêche du poisson bleu et l'aquaculture.

Thon rouge - Le Maroc en phase avec le plan de sauvegarde (L’économiste)
«LE Maroc marque une grande avancée dans la réalisation du plan de redressement des pêcheries des thonidés», se félicite Zakia Driouich, directrice des pêches maritimes et d’aquaculture au département du même nom.
Pour preuve, le quota assigné au principal segment, les madragues en l’occurrence, a été à peine réalisé à quelque 75%. Et la taille moyenne des individus capturés est de l’ordre de 214,40 kg pour un nombre total de pièces pêchées d’environ 8.900. Mieux encore, le quota assigné au Maroc a été volontairement réduit de 15 tonnes. Histoire de contribuer symboliquement au plan de reconstitution de la pêcherie du thon rouge, est-il précisé. Pour rappel, c’est lors de sa 16e réunion, tenue du 17 au 24 novembre 2008 à Marrakech, que la Commission internationale pour la conservation des thonidés de l’Atlantique (Cicta), a adopté un nouveau plan de redressement de la pêcherie du thon rouge pour la période 2009-2010.

Mercure dans le poisson: sommes-nous trop alarmistes? (Cyberpresse)
Des pêcheurs déchargent les thons qu'ils ont pêchés à Bali, en Indonésie.
On parle souvent de la présence de mercure dans le poisson. Et, généralement, de façon assez alarmiste. La Presse a fait le test. Plus de 20 échantillons de thon sont passés au laboratoire, ainsi qu'une dizaine de... mèches de cheveux! Les résultats sont plutôt rassurants. Oui, il y a du mercure partout, mais à des taux qui respectent les normes canadiennes dans la plupart des cas. Et si la prudence reste de mise, même les femmes enceintes sont encouragées à manger du poisson. Mais pas n'importe lequel.
Un morceau de thon qui contient plus d'une partie de mercure par million ne devrait pas se retrouver dans un comptoir à sushis, ni dans une poissonnerie. Trop contaminé. Pourtant il y en a.La Presse a fait tester du thon frais par un laboratoire de biogéo-chimie. Un morceau atteignait la limite établie par Santé Canada, et deux la dépassaient, dont un qui contenait 30% plus de mercure que permis. Les échantillons contaminés provenaient de deux chics épiceries montréalaises.

Hausse des ventes de surgelés sur le marché anglais (AgroAlimentaire)
Les surgelés ont le vent en poupe sur le marché anglais. La catégorie représente 5,8% de l'ensemble des dépenses alimentaires, soit 5,71 milliards d'euros, et a atteint 7,9% des achats réalisés dans la grande distribution. Un Anglais dépense en moyenne 238 euros par an pour les surgelés. Les spécialistes Iceland et Farm Foods ont largement dominé la catégorie, tandis que les discounteurs Aldi et Lidl ont également enregistré de bons résultats. Les aliments préparés représentent 56,7% des achats dans la catégorie des surgelés.
Dans ce segment, les ventes de plats préparés ont à nouveau connu une croissance, après une période de déclin. En valeur, les ventes ont augmenté de 7,4% à 3,3 milliards d'euros

Finistère - «Semaines du petit cabotage». Cinq circuits et de jolies escales (Le Télégramme)
«Des escales de rêve dans de petits ports finistériens accessibles aux petits voiliers». C'est la proposition faite par Nautisme en Finistère, dans le cadre des «Semaines du petit cabotage» dont l'objectif est de faire naviguer les propriétaires de bateaux de 5, 50m à 9m. Cinq circuits sont proposés: Trégor et Léon, du 5 au 10juillet; Cornouaille-ouest, de l'Ile-Tudy à Lesconil, en passant par les Glénan et Pont-l'Abbé, du 12 au 17juillet; la rade de Brest, du 19 au 24juillet; les Abers, de l'Aber-Benoît à Brignogan, du 26 au 31juillet et Cornouaille-est, de La Forêt-Fouesnant à l'anse Saint-Maurice dans la Laïta, du 2 au 7août. La navigation s'effectuera en flottille de dix à quinze voiliers avec des parcours de 5 à 15 milles par jour. Semaines du petit cabotage du 5juillet au 7août. Tarifs: 120 € par personne, 60 € jusqu'à 14ans. Informations: Nautisme en Finistère, au 02.98.76.21.31. www.finistere-resa.com (rubrique loisirs nautiques).

Ile de Sein. Le phare en pleine lumière (Le Télégramme)
C'est l'un des trois derniers phares bretons encore habités: depuis hier, la vigie de Sein est ouverte au public. Des visites avec guides et en présence des gardiens. Parmi eux: Serge Coatmeur, 35années de pratique d'un métier en voie de disparition.
Le phare de l'île de Sein peut désormais être visité. Pas Ar Men, ni La Vieille, désertés depuis l'automatisation et toujours aussi inaccessibles au commun des mortels. Mais celui qui, fièrement planté à la proue du «caillou», guide, du haut de ses49mètres, une navigation qui doit souvent une fière chandelle à son ampoule. Bichonné par deux binômes se relayant chaque semaine, l'édifice, reconstruit en 1952, après son dynamitage de 1944 par l'occupant allemand, est l'un des trois derniers phares bretons encore habités. Dans son logement de fonction attenant, Serge Coatmeur y est d'autant plus à l'aise qu'il est né au coeur d'une maison de gardien à Plogoff (29), en 1956. Petit-fils de gardien et petit-neveu d'un grand-oncle qui veillait à La Vieille, dans le terrible Raz, il est carrément revenu sur les lieux de son enfance. «Mon oncle officiait à Sein où je passais mes vacances dans ce qui représentait pour moi un grand espace de liberté. Lorsque j'y ai été affecté en 1997, j'ai retrouvé toutes les odeurs avec une certaine émotion».
Deux euros la visite
Moyennant deux euros, le visiteur pourra ainsi contempler une expo photos retraçant les étapes de la construction ainsi que divers objets concernant l'activité. Il restera alors à escalader les240 marches qui mènent à la lanterne, avec vue imprenable vers l'Amérique. Avant de pouvoir déguster, au milieu de l'été, la toute nouvelle «huître de Sein», réintroduite au pied du phare après dix ans d'interruption. Et, l'an prochain, les premiers ormeaux élevés dans l'écloserie municipale récemment réhabilitée. «Des produits haut de gamme» en salive déjà celui qui vit pleinement son «métier traditionnel en voie d'extinction». Mairie de l'île de Sein: 02.98.70.90.35

Saint-Jean-de-Luz-Ciboure - Les trainières sur le départ (lejpb)
La succession d’Urdaibai s’ouvre demain à Bilbo. Le tenant du titre compte bien se succéder à lui même, mais derrière ils sont plusieurs prêts à profiter du moindre faux coup de pelle pour prendre la place
Qui va succéder à Urdaibai, vainqueur en 2008 et 2009 ? Lui-même ou les habitués de la tanda d'honneur que sont les aguichulos d'Orio, la marée rouge de Castro ou la Kofradia mauve de Pasaia San Pedro. Kaiku berdiak, l'outsider bilbotar tout frais promu d'ARC1 (la deuxième division), avec à sa tête l'homme le plus titré et le très médiatisé José Luis Korta, pourrait briser cette hégémonie. Cette idée est renforcée au vu des résultats de la pré-temporada en batels, trainerillas, aux banderas de Lekeitio et Mutriku.

Saint-Jean-de-Luz-Ciboure : Trainières - Une régate spectaculaire sur la baie dimanche (Sud-Ouest)
Quatorze bateaux participeront à la 9e édition de la course de trainières de début juillet, ce dimanche sur la baie de Saint-Jean-de-Luz-Ciboure
« Trintxerpe », un des favoris de la régate de dimanche.
Plus de 180 rameurs et 14 barreurs. Le spectacle annuel prévu dimanche matin sur la baie vaudra le détour. Organisée par l'association Istas Kirolak, en collaboration avec Ur Joko, cette régate de trainières est unique en France. 14 équipes de 13 rameurs et un barreur chacune s'affronteront dans la baie, à partir de 11 h 30, originaires des provinces d'Asturias, de Cantabria, de Bizkaia et de Gipuzkoa.

Découverte de Valras – Plage : Identité - A la découverte du quartier des pêcheurs (Midi Libre)
En comptant l'équipage du seul chalut de Valras-Plage, celui de la famille Sauzet, ils sont aujourd'hui une vingtaine de pêcheurs professionnels. La plus grosse partie se consacre essentiellement à la pêche côtière, celle dite des "petits métiers". Pour la plupart, ils sont les descendants directs de ces gens de mer qui ont contribué à la naissance de la commune en 1931. Et c'est grâce à leur histoire, encrée dans leur coeur, dans leur passion pour le large, que l'on peut qualifier Valras-Plage d'authentique port de pêche. Proposition de balade dans ce quartier de "pescaïres" aux charmes incontestables.

Frais, frais le poisson du Chalut (Midi Libre)
Quand l'unique chalut valrassien, le "Laisse-dire" de la famille Sauzet, amarre sur les rives de l'Orb, face à la prud'homie, le spectacle commence. Il est 15 h. Jérémy, Philippe et le reste de l'équipage débarquent la pêche du jour. Claude, le père, pêcheur depuis des générations, vient donner un coup de main aux fistons qui ont pris la relève. Passion oblige... Sur le quai, les amateurs de poissons très frais trépignent d'impatience. Ils vont se régaler, ce soir, de maquereaux, sardines et rougets d'ici, pêchés entre Frontignan et Narbonne. La camionnette de Claude se remplit peu à peu. Les poissons se retrouveront demain sur les étals des marchés ou vendus à la criée. Une partie de la pêche reste à quai : la vente au détail peut commencer.

À la recherche des marins d'autrefois (Ouest France)
Sous la loupe de Joël Vaillant, un nom connu et facile à lire, écrit à la plume, au XVIIIe siècle : « de Jong ». Ce n'est pas toujours le cas...
Tous les mardis, une poignée de bénévoles se retrouvent aux Archives de la Marine, à Lorient, et dépouillent les listes des équipages des navires partis pour des courses lointaines, avant la Révolution. Des noms qu'ils tirentde quarante boîtes d'archives : les « sarcophages » de carton de la Compagnie des Indes.
Vous avez quarante boîtes d'archives. Chacune renferme environ vingt-cinq rôles d'armement et de désarmement (des listes d'équipages) de la deuxième Compagnie des Indes. « Il y a eu plusieurs compagnies, dit Jean-Yves Le Lan, l'un des neuf. Celle qui nous intéresse, la deuxième, est active entre 1719 et 1780. »
Les Archives de la Marine conservent mille rôles rédigés au cours de ces soixante années. On y trouve les équipages, depuis le commandant jusqu'au dernier mousse : nom, prénom, date de naissance, fonction ; parfois la taille et la couleur des yeux et des cheveux ; parfois les péripéties les concernant, de la jambe cassée à la désertion. « Encore faut-il arriver à relire ces documents, fait remarquer Joël Vaillant. Certaines écritures sont très belles, d'autres moins... On utilise souvent la loupe. »

Navarrenx - Bientôt la saumonade (Sud-Ouest)
Le défilé en ville : un grand moment de la saumonade dans la convivialité et la bonne humeur.
Elle s'approche à grand pas la Fête du saumon nouvelle formule. La ville de Navarrenx fêtera le saumon pendant toute la journée du mardi 14 juillet.
Les participants retrouveront l'ambiance toute particulière de la saumonade, ce concours culinaire présentant les mille et une façons d'accommoder celui qu'on appelle le roi du gave.
Une nouveauté importante, pour cette cuvée 2009, les cuisiniers se concentreront sur la réalisation de leur recette. Cuisiniers, accompagnateurs et public pourront déguster tous ensemble a midi, un repas proposé par un traiteur au prix de 15 euros, 8 euros pour les enfants.
Le soir après la remise des prix du championnat du monde de pêche au saumon, un buffet froid sera proposé pour la somme de 10 euros avant de se retrouver sur la piste de danse afin de participer au bal populaire organisé pour le 14 juillet.
Une Fête du saumon qui est ouverte à tous où se mêleront tradition et modernité comme à l'accoutumée.
Les inscriptions, qui sont impératives pour participer aux repas, devront être prises avant le mardi 8 juillet auprès de la Communauté de communes au 05 59 66 07 65, auprès de l'Office du tourisme au 05 59 38 32 85 ou encore auprès de la mairie de Navarrenx au 05 59 66 10 22.

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En 1982, je suis tombé dans le grand bain des cultures marines par la porte de la formation continue. Depuis La Rochelle, j’ai accompagné des professionnels de la mer dans leur installation à la pêche ou en conchyliculture partout en France. Rapidement, l’appel du large m’a gagné. Pendant près de 30 ans, j’ai parcouru les mers du globe. Non pas sur un voilier, mais un sac au dos, de port en port, de communauté littorale en communauté de pêcheurs… En 2008, j’ai mis sac à terre. Maintenant, je voyage sur la toile, et fais voyager tous les jours des centaines d’internautes à travers mon Regard sur la Pêche et l’Aquaculture. Regard croisé avec le Collectif Pêche et Développement, une association basée à Lorient dont le but est de promouvoir un développement solidaire et durable du secteur de la pêche et de l’aquaculture.... Philippe FAVRELIERE Et maintenant sur Facebook : https://www.facebook.com/Regard-sur-la-P%C3%AAche-et-Aquaculture-320623654728433/