samedi 8 août 2009

3 août 2009

En mer, les pêcheurs n’ont presque plus de place (La Manche Libre)
Entre les hydroliennes et les éoliennes, les extractions de granulats et les aires protégées, les pêcheurs craignent pour leur activité.
'C'est une véritable pagaille. Nous ne savons plus où donner de la tête en raison des sollicitations et des avis qui nous parviennent de tous les côtés. Il faudrait que nous puissions y voir clair, avant tout dans l'intérêt des pêcheurs.”
Au comité régional des pêches et des cultures marines de Basse-Normandie, son président,

Port-St-Louis : Ils braconnaient des moules dans le canal de navigation (La Provence)
Le matériel de plongée des braconniers a été appréhendé et sera conservé en attendant la décision du tribunal.
La police des pêches et la lutte contre le braconnage sont les deux priorités de la brigade mixte et côtière de la gendarmerie nationale. Ces derniers jours, les militaires viennent d'ailleurs de porter un sérieux coup d'arrêt à plusieurs pêcheurs professionnels peu respectueux de la réglementation.
Leurs efforts se sont concentrés sur les chalutiers draguant dans les bas-fonds et contre des mytiliculteurs professionnels pêchant dans des zones interdites. Deux marins, non-déclarés, ont ainsi été surpris en flagrant délit de braconnage par les gendarmes. Tous deux pêchaient des moules, avec des bouteilles, dans le canal Saint-Louis à Port-Saint-Louis.

Monaco: Les Rinaldi, derniers pêcheurs au pays des Grimaldi (AFP)
Caler ses filets à l'ombre du rocher princier, sortir du port en longeant les mega-yachts à l'heure où se couchent les fêtards, c'est le quotidien des Rinaldi -père, frères, fils- derniers patrons-pêcheurs de Monaco. Le "Lady Moura", l'un des vingt plus grands yachts du monde amarré à quelques pontons du sien, il ne le voit même plus. Idem pour le "Hurricane run", le "Victoria del mar" et autres palaces flottants qui paressent dans le port de la principauté. "En plus, ils achètent rarement du poisson", se moque gentiment André Rinaldi en manoeuvrant son "Sergeric", une embarcation de 13 mètres, coque bleue aux dimensions de jouet parmi les yachts immaculés. Il est 7h30, André, 65 ans et son fils Eric, 39 ans, quatrième génération de pêcheurs de la famille, sont au travail depuis plus de trois heures et partent relever une nouvelle série de filets au large de Monaco

Roscoff - Visites techniques. La criée incontournable (Le Télégramme)
La visite de la criée connaît, cet été, un engouement extraordinaire au point que les personnes intéressées doivent parfois se présenter à plusieurs reprises pour pouvoir y participer. Organisées par la chambre de commerce de Morlaix, gestionnaire de cet équipement ultramoderne, elles sont animées par Noémie, jeune étudiante en BTS Tourisme qui connaît son sujet sur le bout des doigts.
Un film sur les différentes étapes

Trévignon. Vente directe tous les jours à la criée (Le Télégramme)
Si la Pointe de Trévignon possède beaucoup de charme, avec ses bateaux multicolores, sa digue et ses lumières changeantes, la vente directe à la criée est aussi l'un de ses nombreux atouts. Chaque jour, de 9h30 à 12h et de 15h à 17h, les bateaux de pêche côtière y débarquent poissons et crustacés. Langoustines, crabes, homards, maquereaux, rougets, merluchons... Également à la vente, moules et huîtres de producteurs locaux de l'Aven. Le tout avec le sourire et quelques précieux conseils pour les recettes!

Bourgneuf-en-Retz – Paludier : Jardinier de la mer (Presse Océan)
Bourgneuf-en-Retz. Rencontre avec Daniel Robard, paludier passionné par son métier
Daniel Robard aime se retrouver seul dans sa saline à sentir les vents, observer les nuages, les animaux.
Paludier c'est vivre avec la nature, dépendre totalement d'elle. C'est difficile mais merveilleux à la fois.
Les yeux clairs, la peau burinée par le soleil, les traits rongés par le sel, les cheveux grisonnants et en pagaille, Daniel Robard, 44 ans, a le « look » du parfait paludier. Pourtant, derrière cette apparence, nulle coquetterie. C'est juste la résultante de journées passées dehors, au pied de ses deux salines « et ça, ça n'a pas de prix ».
Des journées à scruter le ciel, à récolter du sel, à remettre en état une saline. Des journées à attendre que le sel apparaisse, à se ronger les sangs pour que la récolte soit bonne, à maudire ces pluies de juillet.

Assérac (44) : Saline - « See, sel and sun », la chanson de Laurent (Ouest France)
Chaque mardi et jeudi, à 10 h 30, Laurent Retailleau organise une visite de sa saline, à Assérac.
Laurent Retailleau, paludier à Assérac, propose des visites commentées de sa saline.Contant avec passion l'alchimie entre l'eau de mer et le soleil qui donne naissance au sel.
« Papa, pourquoi on regarde toujours le monsieur ? » Réponse embarrassée : « Ben, parce que c'est lui qui sait faire du sel et il nous explique. » Le marais du Mès, et oui, il n'y a pas que les célèbres marais salants de Guérande dans la presqu'île, baigne dans un silence apaisant entrecoupé de quelques cris de goélands venus se poser au beau milieu de cette palette de couleurs faites d'un mélange d'eau, de terre et de soleil. Cette même alchimie qui fait naître le sel depuis des millénaires. « Je fais la même chose que ceux qui étaient là il y a dix siècles. La récolte du sel n'a pas connu, au fil du temps, beaucoup d'avancées technologiques. » Laurent Retailleau, paludier sur la saline de Beauregard, à Assérac, reconnaît avoir « deux copains, le soleil et le vent, et un ennemi juré, la pluie ».

La conchyliculture broie du noir (La Manche Libre)
La section régionale de la conchyliculture Normandie-mer du Nord, présidée par Joseph Costard, a tenu une assemblée générale extraordinaire jeudi 16 juillet à son siège de Gouville-sur-Mer en raison de la gravité des difficultés que connaissent cette année encore les conchyliculteurs.
Principale préoccupation : le retour du phénomène de mortalité dont sont victimes de 50 à 80% des juvéniles selon les bassins. Beaucoup de conchyliculteurs voient arriver la fin de leur activité. Ils en viennent alors à brader leur production, ce qui entraîne un glissement général des cours vers le bas.

Voir : La note de service du 16 juillet 2009 de la Direction générale de l’alimentation du Ministère de l’Alimentation de l’Agriculture et de la Pêche en ligne :
Mortalités anormales d'huîtres creuses : point de situation au 10 juillet 2009 (Note de Service DG alimentation MAP)
Un phénomène de mortalité anormale des huîtres est survenu depuis avril 2009, s’est amplifié et semble toucher la quasi-totalité du littoral métropolitain. Comme en 2008, ces mortalités concernent actuellement du naissain d’huîtres et des juvéniles, de toutes origines (naturel et écloseries), diploïde comme triploïde.
Le phénomène observé de mortalités anormalement élevées d’huîtres Crassostrea gigas relève strictement de la santé animale et n'a aucun impact connu sur la santé publique….Suite…..

A Palavas, les chercheurs de l'Ifremer participent à une tentative de domestication du thon rouge (Les infosvertes)
Des scientifiques européens annoncent avoir réussi la ponte d'oeufs de thon rouge en captivité. Une piste pour sauver l'espèce.
Comment sauver les thons rouges dont la survie est menacée par la surpêche qui ravage les stocks en Méditerranée où les bateaux sortent 50 000 à 60 000 t de poissons par an alors que le prélèvement "raisonnable" devrait être limité à 15 000 t ?
La solution pourrait venir de l'élevage de cette espèce jusqu'ici sauvage que des chercheurs ont fait le pari de domestiquer.
Ponte de thons rouges en captivité

Est du Québec - Le crabe commun, une espèce désignée (Radio Canada)
Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune ajoute le crabe commun à la liste des espèces désignées. Ainsi, cette espèce ne pourra être transformée que dans certaines usines, ce qui aura pour effet de protéger l'industrie de ce crustacé pour lequel on tente de développer un marché dans l'est de la province.
L'Association québécoise de l'industrie de la pêche (AQIP), qui a piloté la demande pour quatre usines de transformation, se réjouit de cette décision du ministère. « Pour ceux qui exploitent déjà, c'est sûr que c'est une bonne nouvelle. C'est une protection pour eux. Ils peuvent continuer à développer ce marché-là parce que ce n'était pas exploité avant », explique le directeur général de l'AQIP, Jean-Paul Gagné.
Pour le moment, la transformation du crabe commun ne peut se faire que dans quatre usines. Il s'agit des usines de Cap sur Mer, de Cap-aux-Meules, de Longue-Pointe-de-Mingan, sur la Côte-Nord, et de Sainte-Thérèse-de-Gaspé.
Il faut rappeler que selon les scientifiques de Pêches et Océans Canada, les stocks de crabes communs sont exploités à leur maximum et les quotas alloués aux pêcheurs ne devraient pas s'accroître au cours des prochaines années.
La liste des espèces désignées compte déjà le crabe des neiges, le homard, la crevette nordique, la mye commune et le poisson de fond.

Québec – Pêche sportive : Nouveau règlement pour la pêche au saumon (Radio Canada)
Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune modifie la réglementation sur la pêche au saumon dans la rivière aux Rochers, sur la Côte-Nord. Désormais, lors des périodes de pêche, les pêcheurs de saumon devront remettre à l'eau les grands saumons, soit ceux mesurant 63 centimètres et plus.
Quant à la limite de prises quotidiennes, elle sera de deux petits saumons de moins de 63 centimètres pour l'ensemble des secteurs de la rivière aux Rochers où la pêche sportive au saumon est permise.
Le contingent annuel de 40 grands saumons ayant été atteint, cette modification au règlement a pour but de protéger les grands saumons, qui sont principalement des femelles et qui sont actuellement en montaison dans la rivière pour s'y reproduire cet automne.
Des signes encourageants
Par ailleurs, des populations de poissons qui étaient sur le point de disparaître démontrent des signes d'amélioration, essentiellement en raison de méthodes de gestion plus sévères, indique une nouvelle étude publiée vendredi dans la revue Science qui donne à penser que les quotas de pêche imposés ces dernières années portent leurs fruits.

La Russie en désaccord avec la Chine au sujet de la rivière Argoun (ANE)
La Russie a manifesté son désaccord avec la Chine au sujet d’un projet de cette dernière concernant le développement de la rivière Argoun, qui selon la Russie menace l’environnement du territoire russe. Les relations sino-russes semblent de plus en plus tendues.
La Russie s’est plainte d’un projet fluvial majeur développé par la Chine, qui selon la Russie affectera l’environnement du pays. Cette plainte est le dernier signe d’un durcissement des relations entre la Chine et la Russie.

A Kavarna se trouve le plus grand parc à moules d’Europe..(Radio Bulgarie).
Dans la baie de Kavarna, sur le littoral nord de la mer Noire, est aménagée le plus grand parc de culture de moules. Le site sera exploité par une société bulgaro-irlandaise. Sa capacité de production sera de 3500 tonnes de moules par an. Les investissements réalisés se montent à 1 million d’euros. D’ici les 5 prochaines années, le parc à moules s’étendra sur une superficie de 200 héctares.

Egypte - La pêche miraculeuse (Al-Ahram)
Pisciculture. Pour la première fois à l’oasis d’Al-Farafra, dans la Nouvelle Vallée, un projet d’élevage permet aux habitants de goûter aux poissons frais. Cette initiative, lancée par l’Association caritative de la mosquée de Moustapha Mahmoud, a été une véritable réussite. Reportage.
Aujourd’hui, c’est une journée exceptionnelle à l’oasis d’Al-Farafra. Tôt le matin, les habitants ont commencé à affluer vers le lac artificiel. Apparemment, personne ne veut rater l’événement. L’ingénieur court dans tous les sens et montre aux habitants de Aïn Al-Chaga comment lancer et fixer le grand filet au fond du lac.

Egypte - Mer rouge : Dans les filets du danger (Al-Arham)
Pêcheurs. A Damiette, les pêcheurs ont le blues. Sept des leurs ont perdu la vie dans le naufrage d’un chalutier et ils sont sans nouvelles des 36 hommes capturés par des pirates somaliens. Ils parlent de leurs vies, de leurs espoirs et de leurs peines. Reportage.
Hamama (pigeon), Bouha, Al-Arabi, Al-Khamissi, Haguer, Fouda, des dizaines de bateaux sont amarrés au village de Ezbet Al-Borg à Damiette. Un état d’inactivité, en solidarité avec Momtaz 1 et Ahmad Samara, deux bateaux partis gagner leur pain au large de la mer Rouge et qui ne sont pas revenus. Outre le mauvais temps et les conditions de travail difficiles, la négligence des autorités a poussé ces gens de la mer dans une oisiveté inhabituelle.

Pêche : Un centre pour la pêche continentale à Batna
Un centre pour la pêche continentale sera prochainement réalisé à proximité du barrage de Koudiet Lemdouar de Timgad, wilaya de Batna, a indiqué hier, le chef de la station de pêche et des ressources halieutiques.
D’un coût de 15 millions DA, le centre sera réalisé sur un terrain de 2.000 m2 dans un délai prévisionnel de 12 mois, a précisé le même cadre.
Ce futur équipement comptera un local pour pêcheurs, un hall de dégustation des poissons, deux chambres froides et des espaces verts de détente pour les familles de sorte à transformer à terme le site en une véritable structure d’attraction touristique, a indiqué la même source.
La station de pêche et des ressources halieutiques de Batna £uvre en outre à établir des conventions avec l’Agence nationale de soutien à l’emploi de jeunes ANSEJ pour créer des micro-entreprises de pêche au profit de 40 jeunes.
Le développement du créneau de la pêche continentale exigerait d’autres investissements notamment après le succès des opérations de lâchés d’alevins de carpe effectués en 2006 dans les trois plans d’eau de Timgad, Ain Touta, Oued Taga et Seggana, a encore souligné le même cadre.

Bas-Congo : la vente d'une partie du parc marin menace la biodiversité (Syfia Grands Lacs/RD Congo)
Dans la province du Bas-Congo, la plage de Muanda et une partie des mangroves de la côte atlantique ont été vendues à des riches dignitaires. Pourtant elles font partie d'un parc marin protégé pour sa biodiversité et géré par l’Institut congolais pour la conservation de la nature (Iccn). Les premiers dégâts de ces expropriations se font déjà sentir…

Congo - Équateur : meilleurs poissons pour Kinshasa, fretins pour Mbandaka (Syfia Grands Lacs/RD Congo)
A Mbandaka, la multiplication des agences de fret aérien favorise le commerce du poisson avec Kinshasa. Mais ce sont surtout les meilleurs poissons qui partent pour la capitale, la population locale, au faible pouvoir d’achat, doit se contenter des menus fretins…

La FAO lance un débat sur la déclaration du Sommet mondial sur la sécurité alimentaire (FAO)
Appel à l’éradication de la faim d’ici 2025 et à une reprise des investissements dans l’agriculture
Investir dans l'agriculture est la clef aux problèmes de la faim et de la pauvreté
31 juillet 2009, Rome - Le Directeur général de la FAO, Jacques Diouf, a invité les gouvernements du monde entier à participer aux négociations visant à aboutir à une déclaration qui sera adoptée à l'issue du Sommet mondial des Chefs d'Etat et de Gouvernement sur la sécurité alimentaire à Rome (16 au 18 novembre 2009).
La décision de convoquer ce Sommet a été prise par le Conseil de la FAO en juin dernier.

Au port de pêche de Nouakchott (Le Dit du Magot)

Vaucluse - Les anguilles des Sorgues sont contaminées au PCB (La Provence)
Près de Bédarrides, une pollution a été relevée sur un cours d'eau
De nouvelles expertises auront lieu dans les jours qui viennent dans les sorgues pour mieux cerner l'étendue et l'origine de la pollution au PCB. Résultats attendus en fin d'année.
Le PCB refait parler de lui. La préfecture du Vaucluse a lancé une alerte, hier, après que des traces de Polychlorobiphéniles, dit PCB, aient été retrouvées dans un échantillon d'anguilles sur la commune de Bédarrides, dans un petit affluent de la sorgue.

Grenelle de la Mer en Région, Plouf !! (News de la pêche Normande)
Si pour l'instant le précédent Grenelle de l'Environnement à fait pschitt, le Grenelle de la Mer a fait plouf....Une grande messe pétrie de bonnes intentions, dans un grand fourre-tout pas toujours très cohérent ou chacun prend des grandes résolutions dans style de celle qu'on prend le 1er janvier... La démarche des extracteurs de granulats a été décrite comme exemplaire, il est vrai qu'ils se sont donnés 20 ans pour endormir poissons et pecheurs. Mais c'est une réalité économique, on a besoin de matériaux pour construire les pieds des éoliennes. Alors au diable la protection de l'environnement, vive la croissance.
Beaucoup d'effet d'annonces pour pas grand chose avec des "grands témoins" issu de la société civile et totalement inculte en matière de "maritimité". La déclinaison régionale n'aura rien apporté de très concret si ce n'est quelques plaisanciers énervés à l'idée de devoir payer un permis de pêche en mer...

Polémique autour des algues vertes (Ouest France)
Certains estiment que le décès d'un cheval sur une plage des Côtes-d'Armor, mardi, serait lié au gaz qu'elles produisent.
La mort d'un cheval sur la plage de Saint-Michel-en-Grève reste inexpliquée. Mardi, le cavalier et sa monture auraient tenté de traverser le Roscoat, un ruisseau qui débouche sur cette plage du Trégor. Le cheval est mort étouffé. Le cavalier a été retrouvé inconscient après s'être enlisé dans un mélange de vase et d'algues vertes, dont la putréfaction produit un gaz dangereux et toxique.

Les citoyens d’Union Européenne sensibles aux produits durables et aux écolabels (ANE)
D’après une étude réalisée par l’Union Européenne, les habitants de la région sont assez sensibles aux produits durables et respectant le développement durable, que ce soit du point de vue de la production ou de celui de la consommation.
Le développement durable est l’un des objectifs principaux de l’Union Européenne, qui tente d’améliorer en permanence la qualité de vie et le bien-être des générations actuelles et futures. Le plan d’action sur la production et la consommation durables et la politique industrielle durable présentés par la Commission Européenne en Juillet 2008 sont des éléments importants pour atteindre cet objectif.
L’Union Européenne a réalisé une étude concernant le comportement des européens en matière de production et de consommation durables afin d’observer la connaissance des habitants de l’Union dans ce domaine et de mesurer leur niveau de préoccupation.

Une baleine de 3,5 tonnes s'échoue sur la plage (Ouest France)
L'évacuation de la baleine de 3,5 tonnes a créé l'événement sur la plage de Merville-Franceville.
Matinée agitée hier sur la plage de Merville-Franceville, entre Cabourg et Ouistreham. Il a fallu de gros moyens pour évacuer un cétacé mort.
Vers 8 h, dimanche, alors qu'il se rend à la zone de kite-surf qu'il dirige à Merville-Franceville (14), Damien Burnelil aperçoit un aileron sortant de l'eau. « Sûrement une baleine en difficulté », dit-il à ses élèves. Il prévient aussitôt Olivier Paz, le maire, les services de secours de la plage et la gendarmerie.

Esnandes - La moule, sa vie, son oeuvre (Sud-Ouest)
Le maire, Yann Juin, et trois agents d'accueil. (Photo Jean-François crespin)
Avant de se retrouver sur les étalages des poissonniers, les moules ont une vie. C'est l'itinéraire que propose aux visiteurs la Maison de la mytiliculture, créée en 1987 et installée en face de l'église fortifiée Saint-Martin d'Esnandes depuis 2004.
Ce déménagement a d'ailleurs été l'occasion de refaire toute la muséographie. Marion, Sylvain, Anabelle et les autres guideront le public dans sa découverte et répondront à toutes les interrogations (1).

Giens fête ses pêcheurs entre soleil et grisaille (Var Matin)
Les navires ont été bénis et la vierge Marie apportée au coeur du petit port de La Madrague.
Le port de La Madrague n'est plus aussi charmant qu'autrefois, mais la tradition y est respectée. Chaque année, le 2 août, la fête des pêcheurs attire vacanciers, Arbanais (habitants de la Presqu'île) et Hyérois. C'est l'association La Partègue qui était la maîtresse de cérémonie de cette célébration unique dans la région. « Cela fait 17 ans que cette fête se perpétue chaque année et nous sommes là pour continuer. Hélas, le nombre de pêcheurs ici se raréfie », explique Jean-Pierre Pirault, le président.

Côtes-d'Armor - Mort d'un cheval. Les algues vertes en cause? (Le Télégramme)
Les algues vertes peuvent-elles être à l'origine du décès d'un cheval et du malaise de son cavalier, mardi dernier sur la plage de Saint-Michel-en- Grève (22)? Les gendarmes ne le pensent pas, un médecin urgentiste si.
L'accident s'est produit mardi après-midi alors que le cheval, mené par la bride, entrait dans une zone mouvante à la traversée du Roscoat, petit ruisseau débouchant sur la plage de Saint-Michel-en-Grève. Le secteur est vaseux, la vase étant elle-même masquée par une couche d'algues plus ou moins épaisse selon les endroits. Le cheval a percé la croûte et s'est enlisé jusqu'au cou. Son cavalier, voulant le tirer de ce mauvais pas, s'est à son tour enfoncé jusqu'à la poitrine. Il a été secouru par l'entreprise de ramassage d'algues qui, témoin des faits, est arrivée à la rescousse avec sa fourche de levage. Pour les gendarmes intervenus sur les lieux, il n'y a pas de raison particulière de polémiquer. «C'est un enlisement, le cheval est mort étouffé dans la vase», estime, photos à l'appui, le commandant de compagnie Christophe Le Ruyet.

Régate - Queues de poisson autorisées (Sud-Ouest)
La course Royan-Gijon a pris son essor. Deux critères prévalent : la vitesse et... la pêche au thon
«L'an dernier, nous avons croisé un banc de thon à l'aller, mais nous étions en régate. Au retour, ils avaient disparu... » Résultat ? L'équipage coaché par Arnaud Mounard est rentré non pas la queue entre les jambes mais sans queue du tout. Ce qui aurait pu pourtant bonifier son classement. Explication ? La Royan-Gijon, régate ludique autant qu'Atlantique, retient deux critères pour le classement des concurrents. La vitesse et la longueur des queues des thons pêchés en route. L'édition 2010 est ouverte. Quinze équipages ont pris hier la mer hier.
Formation à bord
« C'est la dixième édition, sourit Jean-Bernard Prudencio. Du moins la dixième édition de la Gascogne-Asturies, initialement organisée avec La Rochelle et Arcachon. C'est devenu par la force des choses une Royan-Gijon. » Pas l'once d'un regret dans la voix du président des Régates de Royan. Mais au contraire la jubilation de retenir sur la Côte de Beauté une manifestation connue pour son caractère festif. « Nous sommes toujours superbement reçus à Gijon. Cette année, nous avons même un équipage espagnol. Il a rallié Royan pour faire la course. »

Québec : à la découverte des beautés naturelles de la Minganie (Destination)
L'immense Côte-Nord du Québec est subdivisée en deux régions touristiques distinctes: Manicouagan et Duplessis. Bordant le fleuve sur 300 km, la région de Manicouagan s'enfonce dans le plateau laurentien jusqu'au nord des monts Groulx et du réservoir Manicouagan.
L'infinie contrée sauvage qu'est la région de Duplessis longe quant à elle le golfe du Saint-Laurent sur près d'un millier de kilomètres jusqu'au Labrador, et sa population, composée de francophones, d'anglophones et d'Innus, vit dispersée sur le littoral et dans quelques villes minières de l'arrière-pays.

Normandie – Villequier : A la pêche à l'anguille (Paris Normandie)
Tandis qu'au loin passent les cargos, René et Danny, imperturbables, traquent l'anguille dans la Seine VILLEQUIER.Chaque année, des Belges traversent la frontière pour venir en France,
et tout particulièrement en Normandie, pour pêcher l'anguille, leur poisson préféré.
L'orage gronde au loin et la Seine clapote d'une pluie qui va devenir battante dans quelques minutes. Aucune importance pour René et son petit-fils Danny. Ils sont venus d'Ostende, en Belgique, passer quatorze jours en France au camping de Villequier. Pour pêcher l'anguille, quel que soit le temps, quelque soit l'heure, pourvu que la marée soit favorable.
« Voilà deux ans que nous venons ici pêcher au bord de la Seine. Avant, j'allais dans la Somme, au bord de mer. Mais maintenant, ce n'est plus bon, on n'y pêche plus d'anguilles. La plupart des Belges qui viennent pêcher l'anguille en France vont au Havre, à l'entrée du port. Moi, je préfère rester ici, c'est plus calme ».

La tradition revit avec la pêche à la traîne (Palavas-les-Flots)
Pour les Palavasiens, cette pêche à la traîne, qu’ils connaissent bien, est toujours un plaisir évocateur de souvenirs qui ne sont pas sans rappeler la dureté du métier de pêcheur, ni la grande solidarité qui étaient de règle entre eux. Pour les touristes et les estivants, c’est l’occasion de découvrir une pêche traditionnelle tombée en désuétude.
Le rite était immuable. Une barque à rame déployait un filet à environ 300 m du rivage, qui était ensuite tiré depuis la plage, à la seule force des bras. C'était une manœuvre délicate et épuisante. Il ne fallait, à aucun prix laisser échapper le poisson qui était ensuite partagé.
Ce dernier évènement, organisé comme chaque année par les anciens élèves de l'école du Château d'Eau, prouve que la technique est toujours bien maîtrisée. La pêche de la matinée qui, pour n’être pas miraculeuse, n’en était pas moins substantielle, a ramené quantité de petits poissons et quelques belles daurades.

Japon : Echange travailleurs contre marchandises
Du côté des Philippines, en échange notamment d'une importation ciblée de main-d'œuvre et d'un accès facilité des exportations agricoles au marché japonais, l'accord prévoit d'ouvrir aux entreprises de pêche japonaises, l'accès à des zones économiques antérieurement exclusivement réservées aux Philippins. Selon plusieurs associations qui tentent de résister à la politique gouvernementale (notamment l'association de pêcheurs Pamalakaya qui revendique 80 000 membres), les Philippines seraient déjà en situation de sur-pêche. L'arrivée des bateaux-usines japonais (surtout des thoniers), risque de précipiter dans la pauvreté de nombreux pêcheurs Philippins, beaucoup moins équipés, artisanaux dans leurs méthodes, et non-subventionnés.
Source : Thierry Ribault, économiste au CNRS Eco89, 22 juillet 2009

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Qui êtes-vous ?

Ma photo
En 1982, je suis tombé dans le grand bain des cultures marines par la porte de la formation continue. Depuis La Rochelle, j’ai accompagné des professionnels de la mer dans leur installation à la pêche ou en conchyliculture partout en France. Rapidement, l’appel du large m’a gagné. Pendant près de 30 ans, j’ai parcouru les mers du globe. Non pas sur un voilier, mais un sac au dos, de port en port, de communauté littorale en communauté de pêcheurs… En 2008, j’ai mis sac à terre. Maintenant, je voyage sur la toile, et fais voyager tous les jours des centaines d’internautes à travers mon Regard sur la Pêche et l’Aquaculture. Regard croisé avec le Collectif Pêche et Développement, une association basée à Lorient dont le but est de promouvoir un développement solidaire et durable du secteur de la pêche et de l’aquaculture.... Philippe FAVRELIERE Et maintenant sur Facebook : https://www.facebook.com/Regard-sur-la-P%C3%AAche-et-Aquaculture-320623654728433/