mardi 2 juin 2009

1 juin 2009

Méditerranée« La pêche a 75 ans de retard » (Midi libre)
Nom : Sene Prénom : Abdoulaye Age : 57 ans Profession : marin pêcheur retraité Signe particulier : né au Sénégal, Abdoulaye Sene a travaillé 33 ans durant en Atlantique comme en Méditerranée. Cette année, il a refusé d'embarquer pour une nouvelle campagne au thon, et s'est engagé dans le jeune syndicat FO des marins. Où le travail ne manque pas...
Vous avez décidé de ne pas rembarquer pour la campagne au thon. Pourquoi ?
Parce que je suis dégoûté. Dégoûté par le système qui est celui de la Méditerranée. Nous sommes en 2009, mais nous avons 75 ans de retard.
Quand je naviguais à Lorient, il y a 25 ans, nous avions déjà des bulletins de paie alors qu'ici, c'est dangereux d'en parler... En fait, aucune information ne circule entre les patrons et le matelot, qui est là pour subir.

Saint Jean de Luz : Logicoop baptise deux nouveaux bateaux (Sud-Ouest)
L'« Atxik » et le « Mirentxu » se veulent des symboles solides de l'unité du port.
La renaissance de deux bateaux, un message d'espoir porté par les pêcheurs.
Il y a longtemps que le port de Saint-Jean-de-Luz n'avait pas connu d'heureux événement. Vendredi soir, deux nouveaux bateaux de pêche, le « Mirentxu I » et l'« Atxik », ont été officiellement baptisés à l'initiative de la coopérative Logicoop devant un parterre d'élus, de représentants des collectivités et de pêcheurs.
Un baptême symbolique -les deux unités de pêche ont déjà commencé à naviguer- mais particulièrement bien venu dans un contexte tourmenté, comme l'a souligné dans son discours Mikel Epalza, l'emblématique aumônier des marins-pêcheurs de Ciboure. « C'est comme un mariage. Deux métiers complémentaires. "Atxik", fileyeur polyvalent pouvant aussi faire la palangre et "Mirentxu" bolincheur pouvant aussi faire la pêche au thon à l'appât vivant. C'est ensemble qu'on s'en sort et non séparés, encore moins divisés. » « Atxik », tenir bon

Quiberon - Criée. Une convention avec le port de pêche de Lorient (Le Télégramme)
Samedi matin, à la mairie, la convention entre la Société d'économie mixte Keroman (Sem), concessionnaire du port de Lorient, et la municipalité de Quiberon, gestionnaire de la criée, a été signée. Dès cette semaine, un camion de marée fera la navette entre les deux ports afin d'ouvrir de nouveau marché aux pêcheurs quiberonnais.
A Lorient, un accès direct à la vente
Afin de valoriser au mieux les produits de la pêche, en raison des différences de cours et de la hausse du prix du gazole en 2008, une convention permet dorénavant aux bateaux qui débarquent à Quiberon d'avoir un accès direct à la vente de Lorient, soit 80 acheteurs, au lieu des cinq acheteurs pour Quiberon.
Une navette pour l'ensemble de la pêche

Lacanau - Défendre les modes de pêche à pied (Sud-ouest)
Michel Boigné, président de l'ACPG, entouré de Philippe Eclina et Robert Olivan, représentants de la section Lacanau.
C'est en petit comité, mais en nombre suffisant, que l'Association des pêcheurs côtiers girondins (ACPG) a tenu son assemblée générale à la salle l'Escoure, à Lacanau-Océan.
Le but de cette jeune association, créée en février 2008, est de défendre les différents modes de pêche à pied sur la côte girondine ainsi que de préserver l'environnement lié à cette activité de loisirs. Elle compte à ce jour 415 adhérents, dont 86 pour Lacanau. Un de ses principaux objectifs est de faire augmenter les autorisations de calages de filets fixes. Un objectif qui est en bonne voie, car le nombre d'autorisations est passé de 65 en 2008 à 100 en 2009.
Aller plus loin

Le cabillaud islandais sous pression (NouvelObs)
La pêche du cabillaud, ou morue franche, dans les eaux islandaises serait-elle menacée par un effondrement des stocks, comme dans les eaux de Terre-Neuve, au Canada, dans les années 90?
Un groupe de chercheurs de Reykjavik appellent les autorités de leur pays à prendre des mesures de protection de cette population avant qu’il ne soit trop tard. Einar Árnason et ses collègues basent leur alerte sur une étude génétique qui montre que les cabillauds vivant dans les eaux moins profondes sont en déclin, contrairement à ceux des profondeurs.
Les biologistes de l’Université de Reykjavik ont utilisé un marqueur génétique ancien, présent chez le cabillaud (Gadus morhua) avant que son embranchement se sépare de celui du goberge de l’Alaska (Theragra chalcogramma). Il s’agit d’un gène dont les deux versions (allèle A et allèle B) sont liées à la préférence du cabillaud pour les eaux profondes ou à l’inverse pour la vie près de la surface.
Après avoir séquencé ce marqueur chez plus de 8.000 cabillauds, les chercheurs ont constaté que la variante adaptée aux eaux de surface était de plus en plus rare, coïncidant avec un accroissement de la pêche à faible profondeur (moins de 100 mètres) ces dix dernières années.
Einar Árnason et ses collègues, qui publient leurs résultats en ligne sur le site de la revue PLoS ONE, prédisent un effondrement rapide de cette population de cabillaud si la pêche se poursuit au même rythme. Ces chercheurs doutent de la capacité des cabillauds de profondeurs à repeupler la partie supérieure de l’océan. Ils conseillent donc aux autorités de créer des réserves où la pêche serait interdite, pour préserver le cabillaud dans les eaux islandaises.

Algérie - Vulgarisation de l’aquaculture (Nouvelle République)
Les bienfaits de l’aquaculture pour l’irrigation des terres agricoles de la daïra d’Aïn Larbaâ (34 km d’Aïn Témouchent) ont été explicités, hier, aux agriculteurs de cette collectivité locale.
Cette rencontre de sensibilisation, menée conjointement par les directions de wilaya de la pêche et des ressources halieutiques et des services agricoles, ainsi que par le Centre national de recherche pour le développement de la pêche et de l’aquaculture (CNRDPA) de Bousmaïl, a permis aux travailleurs de la terre de s’enquérir de ces avantages, notamment sur le plan de la fertilité de leur terre. Irriguée par des eaux de bassins aquacoles, cette terre sera davantage «plus riche», ont expliqué des techniciens du CNRDPA, grâce «aux nutriments des poissons ensemencés dans ces mêmes bassins».

Comores-Exim Bank India : Un prêt de 10 millions de dollars pour la pêche industrielle
Dix millions de dollars. C'est le prêt contracté par l'Etat comorien auprès de Exim Bank India pour financer un grand projet de pêche industrielle qui englobe aussi une industrie de transformation. Selon le ministre de la pêche, cet argent est largement suffisant pour financer la pêche industrielle.”Nous pensons qu' il nous est possible de nous procurer des bateaux de pêche de fortes puissantes, permettant à nos pêcheurs d'atteindre la haute mer et de pouvoir pêcher des poissons en grande quantité, afin qu'ils puissent satisfaire les besoins de la population”.

Roscoff. Le projet du port approuvé à l'unanimité (Le Télégramme)
Une enquête publique concernant la révision simplifiée du POS (plan d'occupation des sols) s'est déroulée du 23mars au 22avril, pour le zonage du secteur de Bloscon, à Roscoff, afin de permettre l'aménagement du port. Le conseil municipal de la commune, réuni vendredi soir, a approuvé les conclusions du commissaire enquêteur et le projet de révision du document d'urbanisme (cinq abstentions). Plusieurs enquêtes publiques ont aussi été ouvertes conjointement sur le projet de la CCI en vue de procéder aux travaux d'extension et d'aménagement du port : changement d'utilisation du domaine maritime à la demande du conseil général, réalisation de travaux dans les ports de commerce et de pêche, création d'un port de plaisance, autorisation d'aménagement et d'extension, ainsi qu'une enquête sur la situation du projet dans la zone des 100m. Ces enquêtes ont été closes vendredi en fin de journée. Le maire a proposé aux élus d'approuver ce projet «qui présente un intérêt majeur pour la commune, la communauté et la Région et qui répondra, en outre, au souhait des pêcheurs de bénéficier d'un lieu de protection en cas de forts coups de vent de nord-est». Le projet a été voté à l'unanimité.

Hossegor : attaque des huîtres par un virus
Sud-Ouest, Pierre Penin, le 23 Octobre 2008
Hossgor. La production des six ostréiculteurs landais implantés sur le lac subit depuis juin les assauts d’un virus
Un os dans l’huître
L’ostréiculteur Jérôme Labeguerie, comme ses confrères, doit faire face à l’attaque d’un virus sur ses huîtres
Les coquilles d’huîtres bouchent les trous de l’entrée cabossée vers l’exploitation de Jérôme Labeguerie. « On en fait des chemins », ironise l’ostréiculteur. Comme ses cinq confrères du lac d’Hossegor, sa production souffre. « On nous parle d’une bactérie mélangée à un virus. » Selon l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer (Ifremer) la bactérie Vibrio splendidus aurait pu affaiblir les jeunes huîtres et favoriser le développement du virus OsHV-1. Derrière l’obscure terminologie scientifique, la réalité pour les producteurs est très simple : les jeunes huîtres meurent. L’état de calamité agricole a été reconnu (1).

I Verdi Corsi et le thon rouge de Méditerranée
I Verdi Corsi tiennent à apporter des précisions quant aux différentes affirmations qui stipulent que « le thon prolifère en Méditerranée… ».
Sollicité à ce sujet, le professeur Guy Duhamel, Directeur du Département Milieux et Peuplement Aquatiques du Muséum national d’Histoire naturelle nous a répondu :
« …Il faut faire très attention sur l'emploi d'un terme comme prolifération pour un grand pélagique. En effet il peut y avoir localement des concentrations et rien à côté dans cette mer très fermée. Le Thon rouge, espèce hautement convoitée pour les profits engendrés par l'exportation ou l'engraissement en cages à destination des Japonais (mais très peu consommé en France!), subit une pression de pêche légale et illégale qui va conduire à sa perte et le signal d'alarme a été déclenché par les scientifiques… »

Normandie - Les jeunes huîtres seront confinées (Ouest-France)
Les jeunes huîtres creuses ne doivent plus sortir, ou rentrer, en Normandie.
Afin d'éviter la propagation de leur mortalité, les naissains normands ne doivent plus sortir de la région. La profession approuve.
La restriction du transport des huîtres juvéniles, décidée vendredi par le ministère de l'Agriculture, s'applique à toutes les régions de France. Le phénomène de mortalité, foudroyant en 2008, se répète en Méditerranée et à Arcachon. « Avec l'apparition de nouvelles mortalités inexpliquées, toute entrée et sortie d'huîtres creuses en Basse-Normandie est suspendue temporairement », annonce le préfet de région. Cette suspension ne concerne pas les transferts à l'intérieur de chacune des quatre zones normandes de production, ni les huîtres adultes. « L'objectif est de réduire les risques de transmission des mortalités. La consommation des huîtres demeure sans risque. »
Joseph Costard, président de la Section régionale conchylicole, approuve la mesure. « C'est une mesure de précaution : on la demandait depuis quelque temps déjà. » La Basse-Normandie, premier bassin de production en France et très touché en 2008, était épargnée jusqu'à présent en 2009.

Les huîtres victimes d'un mal mystérieux (Ouest France)
Dans la région d'Arcachon, on s'inquiète de la production pour les années à venir. Alors que les creuses se remettent à mourir sans explication satisfaisante, les ostréiculteurs commencent à douter de la pérennité de leur métier.
Quel est, à ce jour, le bilan du sinistre ?
À l'été 2008, 70 % à 80 % des jeunes huîtres sont mortes dans toutes lesrégions de production. Depuis quelques semaines, elles ont recommencé à disparaître : 50 % à Arcachon et dans l'étang de Thau en Méditerranée. Dans les proportions moindres à Marennes-Oléron, en Vendée et en Bretagne-sud. Conséquence, cet automne, les huîtres de calibre moyen vont commencer à manquer à l'étalage. Et, à Thau, on risque de se trouver en manque d'huîtres adultes à vendre dès le printemps 2010. La pénurie se généraliserait aux autres bassins à partir de l'hiver 2010.
Quelle est la cause ?
Les scientifiques ont du mal à identifier le facteur principal. Depuis une quinzaine d'années que l'on observe des épisodes de mortalité, certes moins graves, ils ont mis en évidence un herpès virus et plusieurs bactéries de type vibrio qui s'en prendraient aux huîtres par temps chaud, quand elles sont affaiblies par leurs activités reproductrices. Mais aucun de ces pathogènes, tous heureusement sans danger pour l'homme, n'explique à lui seul les dernières catastrophes.
Un nouvel agent pathogène ?

Finistère - Aquadis. Le plan de sauvegarde pour 40 emplois (Le Télégramme)
Vendredi, le tribunal de commerce de Brest a rendu son jugement sur la reprise des activités d'Aquadis. Sur les neuf piscicultures exploitées par la société Aquadis de Plouvorn, six sont reprises. L'EARL Courant reprend les quatre piscicultures: Plouvorn, Guiclan, Saint-Thégonnec et Saint-Martin-des-Champs. Les piscicultures de l'Aven reprennent celles de Pont-Aven et de Plouay. Ces deux repreneurs permettent de sauver 11 emplois sur les 21 que comptaient les neuf piscicultures. L'usine de transformation de Plouvorn, également mise en liquidation judiciaire (depuis la fin 2008), est, quant à elle, reprise par la SARL Le Ribault-Thomas-Tanguy. L'opération en cours pourrait ainsi sauvegarder 29 emplois. L'usine est spécialisée dans la préparation et la transformation de truite et des produits de la mer.

"Il faut inventer l'énergie marine, les ports, les bateaux du futur" (Le Monde)
La curiosité étant le meilleur des défauts, il est bien tentant pour nous, les tenants du groupe 1, d'aller regarder par-dessus les épaules de nos camarades des autres groupes. Faut-il rappeler que ce Grenelle de la mer se décline, outre notre partie "délicate rencontre entre la terre et la mer", en trois autres parties : "entre menace et potentiels : une mer fragile et promesse d'avenir" pour le groupe 2 ; "partager la passion de la mer" pour le groupe 3 ; "planète mer : inventer de nouvelles régulations" pour le groupe 4. Ce qui est rassurant (pour nous), c'est qu'ils ont tous, au premier abord, été estomaqués par l'ampleur de leur tâche, puis enthousiastes et débordants d'idées, au point que chaque groupe s'est voté des journées de travail supplémentaires.

Paul Watson : "Il faut des pirates pour arrêter les pirates" (Article 11)
Militants mous, logorrhéistes écologiques, défenseurs des animaux sans suite dans les idées, voilà un homme dont vous pourriez prendre de la graine. Une trentaine d’années de combat écolo, une dizaine de bateaux coulés, des centaines de cétacés sauvés et aucune condamnation à son actif. Une efficacité diabolique pour un activisme pirate des plus réjouissants.
Paul Watson : "Il faut des pirates pour arrêter les pirates"
vendredi 29 mai 2009, par Benjamin
« A la pêche à la baleine, à la pêche à la baleine, Tu ne veux pas aller, Et pourquoi donc ? Et pourquoi donc que j’irais pêcher une bête Qui ne m’a rien fait, papa, Va la pêpé, va la pêcher toi-même [...]. » (Prévert).

Le secret de la salicorne (Sud-Ouest)
Croquante à coeur en juin et juillet, la salicorne de notre littoral suscite de plus en plus d'engouement
La salicorne : facile à identifier avec ses rameaux cylindriques.
Juste ébouillantée avec une pointe de beurre, c'est ainsi qu'Anne Richard conseille de déguster la salicorne, plante halophile de notre littoral qui arrive à maturité en juin et juillet.
Son secret de recette n'en est pas vraiment un. Mais la responsable de l'association fourasine À fleur de marée est d'abord botaniste et ingénieur agronome. Pas cuisinière.

Le Château d’Oléron - .Michel Savatier raconte l'île de son enfance (Sud-Ouest)
Michel Savatier : un amoureux de l'île d'Oléron.
L'écrivain Michel Savatier fait revivre l'île à travers des histoires de pêche, de mareyeurs, de chasse au trésor. De guerre aussi... Autrement dit, celles d'avant le pont. Petites histoires, récits d'aventures, légendes ancestrales qui constituent un portrait tendre et fort de l'île d'Oléron... « Quand Oléron était une île » (Éditions du Croît Vif) est un hommage à l'île et à ses habitants, une madeleine à l'enivrant parfum des découvertes et des conquêtes propres à l'enfance.

Dieppe La pêche dans le sang (Paris Normandie)
Frédéric Mottaz écume les championnats de pêche en bord de mer PORTRAIT. Chaque lundi, rencontre avec un Dieppois au talent particulier. Aujourd'hui : Frédéric Mottaz.
Vice-champion de France junior en 1992, champion d'Europe en équipe en 1993, deux fois présélectionné pour les championnats du monde durant les dix dernières années. Frédéric Mottaz, 33 ans, n'est pas un bleu de la pêche à la ligne en bord de mer. Il maîtrise. Et sa passion ne date pas d'hier.
Vers 9 ans, déjà, le Dieppois se rue sur la plage pour taquiner le maquereau dès qu'il en a l'occasion, malgré une famille qui ne verse pas dans sa nouvelle passion.
A 20 ans, il travaille au rayon pêche de Décathlon à Dieppe et à 24, Frédéric ouvre sa propre boutique, Objectif pêche, au Bout du quai. Autour de lui, hameçons, bas de lignes, plombs et cannes à pêche, trônent en permanence. Une consécration.
Championnat mondial en vue
« Ça me permet de parler avec les clients de ma passion, de donner des conseils. C'est ce que j'ai toujours voulu faire. Le revers de la médaille, c'est que j'ai moins de temps pour pêcher.

Le déclin des poissons d’eau douce aurait forcé nos ancêtres à pêcher en mer (Maxisciences)
Angleterre – Un projet international montre que les pêcheurs médiévaux auraient pris la mer pour la première fois il y a 1000 ans à cause d’un important déclin des poissons d’eau douce. Les conclusions sur l’identification de la diversité marine passée peuvent avoir un impact sur la gestion actuelle des océans.
Les chercheurs des universités de Cambridge et de York ont étudié et daté les arêtes de poissons trouvées sur des sites archéologiques du nord-ouest de l’Europe. Ils ont découvert qu’il y a 1000 ans il y avait peu d’espèces de poissons d’eau douce pêchées, et que celles-ci diminuaient au cours du temps. La pêche intensive et la pollution seraient responsables de ce déclin qui aurait causé des changements majeurs dans le régime alimentaire de nos ancêtres.

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Qui êtes-vous ?

Ma photo
En 1982, je suis tombé dans le grand bain des cultures marines par la porte de la formation continue. Depuis La Rochelle, j’ai accompagné des professionnels de la mer dans leur installation à la pêche ou en conchyliculture partout en France. Rapidement, l’appel du large m’a gagné. Pendant près de 30 ans, j’ai parcouru les mers du globe. Non pas sur un voilier, mais un sac au dos, de port en port, de communauté littorale en communauté de pêcheurs… En 2008, j’ai mis sac à terre. Maintenant, je voyage sur la toile, et fais voyager tous les jours des centaines d’internautes à travers mon Regard sur la Pêche et l’Aquaculture. Regard croisé avec le Collectif Pêche et Développement, une association basée à Lorient dont le but est de promouvoir un développement solidaire et durable du secteur de la pêche et de l’aquaculture.... Philippe FAVRELIERE Et maintenant sur Facebook : https://www.facebook.com/Regard-sur-la-P%C3%AAche-et-Aquaculture-320623654728433/