jeudi 11 juin 2009

11 juin 2009

PriceWaterhouseCoopers entreprise privée d’intérêt collectif ? (CLPM Le Guivinec)
Ce titre en forme d’oxymore surprend. Regardons d’un peu plus près la réalité et réfléchissons.
Il suffit de taper le nom de PricewaterhouseCoopers (PWC) dans un moteur de recherche pour vérifier l’intuition que l’on peut avoir en rencontrant les "associés" de cette entreprise. C’est l’essence même du cabinet privé, qui plus est américain. Toutes les activités de PWC et de Landwell & Associés (cabinet d’avocats membre du réseau PWC) représentent en chiffres d’affaires pour la France 641 millions € et pour le monde 28,2 milliards $ US. Les effectifs ne sont pas en reste, 3800 personnes en France, 155 000 dans le monde. Les implantations sont gigantesques, 25 bureaux en France et des bureaux dans 153 pays dans le monde. Bref, un exemple de réussite privée américaine et internationale.

Aigues-Mortes - Bras de fer social aux Salins du Midi (Midi Libre)
Il prévoit la suppression de 60 postes sur le site d'Aigues-Mortes (Gard) Début mai, la nouvelle est tombée. La Compagnie des Salins du Midi et des Salines de l'Est a alors annoncé la réduction de ses effectifs de 128 postes sur les 750 qu'elle déploie sur le site gardois d'Aigues-Mortes, à Salin-de-Giraud (Bouches-du-Rhône) et aussi à Varangéville (Moselle). Une soixantaine d'emplois étant visée à Aigues-Mortes.
Si la direction justifie ce plan par les effets de la concurrence (espagnole notamment), les syndicats ne baissent pas les bras. Ainsi, hier, tandis qu'à Paris se tenait un Comité Central d'Entreprise (CCE), ils avaient mobilisé leurs troupes dès 6 heures du matin, devant l'entrée des salins gardois. Les salariés étaient invités par la CGT et la CGC à faire une journée de grève. Le but : maintenir la pression sur une direction soupçonnée de développer « une stratégie inquiétante ».

Saint-Nazaire - Brière. Élevage, pêche... et toiture (Presse Océan)
Les dossiers du marais indivis de Grande Brière Mottière à la loupe
Plus de 90 % du marais indivis est cadastré sur la commune de Saint-Joachim. Photo archives PO
C'est ce qui s'appelle de la démocratie participative. Les usagers du marais s'invitent au débat
1 Le casse-tête
Décidément, le bâtiment des Fossés Blancs continue à faire parler de lui. Les murs appartiennent à la commune de La Chapelle-des-Marais mais il est situé sur un terrain du marais indivis géré par la commission syndicale de Grande Brière Mottière. Marais en grande partie cadastré sur le territoire de Saint-Joachim.
Bref un vrai paquet de pointes. On se souvient des joutes enflammées entre les deux anciens maires sur le sujet.
2 De « toit » à moi

Pêche au homard - Ottawa délie les cordons de la bourse (Radio Canada)
Ottawa vient en aide aux pêcheurs de homard de l'Atlantique et du Québec. La ministre fédérale des Pêches et des Océans, Gail Shea, annonce un investissement de 65 millions de dollars pour aider leur industrie frappée par une importante chute des prix.
De cette somme, 15 millions de dollars seront versés aux pêcheurs qui ont subi une baisse d'au moins 25 % de leurs revenus.
Selon Christian Brun, de l'Union des pêcheurs des Maritimes (UPM), cette somme est la bienvenue, mais elle est tout de même insuffisante.
« Pour le court terme, pour ce qui est des montants qui ont été annoncés, il semblerait que c'est nettement insuffisant, puisqu'on parle de cinq provinces qui sont dans une situation de difficulté. On parle quand même de 10 000 pêcheurs, et on nous annonce un montant de 15 millions de dollars, ce qui n'est pas négligeable, mais quand même, on parle de 10 000 pêcheurs », affirme-t-il.
M. Brun ajoute que pratiquement tous les pêcheurs des Maritimes ont subi une baisse d'au moins 25 % de leurs revenus, donc « il va probablement falloir s'asseoir et faire des négociations autour de cet élément-là », dit-il.
Les 50 millions de dollars restants serviront à établir, d'ici cinq ans, des plans de durabilité de l'industrie. Il s'agit notamment d'une rationalisation des permis pour réduire le volume de la pêche.

Chili - Sous les pavés de saumons, une ville chilienne au chômage (Agora Vox)
« Saumon de l’Atlantique » côté pile, « élevé au Chili » côté face. Pourquoi diable va-t-on élever les saumons de l’Atlantique dans le Pacifique avant de les livrer à votre supermarché de produits congelés ? La ville de Quellon, au sud de l’archipel chilien de Chiloé, est un des principaux centres de production de saumon d’élevage au Chili, deuxième pays exportateur après la Norvège. Mais le miracle économique des « fermes a saumon » a fait long feu, laissant plus de la moitié de la population de la ville au chômage et les eaux des fjords contaminées par une bactérie interdisant la pêche. Quellon, ravagée économiquement, est aujourd’hui au bord de l’explosion sociale.

Cherbourg - La crise ostréicole menace le Nord-Cotentin (Ouest-France)
Pour la 2e année consécutive, Joseph Costard ne peut que constater la mortalité des huîtres.
Les huîtres subissent un phénomène de mortalité inquiétant sauf, pour l'instant, en Normandie. Le temps presse pour mettre des remèdes au point.
Éviter la propagation des virus
Alors que plusieurs sites ostréicoles en France sont touchés par une nouvelle hausse de la mortalité chez les huîtres juvéniles, les professionnels s'inquiètent. « Il faut que les arrêtés interdisant le transport des huîtres soient respectés dans toutes les régions afin d'éviter la propagation des virus et des bactéries, assure Joseph Costard, président de la section régionale conchylicole de Normandie. La Bretagne Sud n'a pas encore pris cette décision. Pour notre part, les ostréiculteurs doivent remplir une fiche dès la découverte de mortalité afin d'effectuer des diagnostics rapides. »
Pertes financières importantes
Le problème s'est déclaré le 5 mai dernier à Arcachon. La crise touche désormais toute la côte Atlantique, jusqu'aux portes de la Basse-Normandie. « J'espère que ces mesures n'ont pas été prises trop tard. Nous avons perdu la quasi-totalité de nos jeunes huîtres en 2008, soit une perte financière de 50 millions d'euros en Normandie. Si cela se reproduit, de nombreuses entreprises fermeront leurs portes », anticipe Joseph Costard.
Découvrir et détruire les agents pathogènes
Des analyses minutieuses
Pas de remède... sauf le choix génétique (Suite… Ouest-France)

Le poisson d'élevage fait des remous en Norvège (Romandie)
Oeygarden (Norvège) - Dans un coin de fjord enchanteur, 600.000 truites juvéniles s'égayent à l'heure du repas dans des cages immergées en attendant d'atterrir à leur tour dans une assiette: le poisson d'élevage est un secteur en plein boom en Norvège mais qui n'est pas sans risque.
Installée à Oeygarden près de Bergen (ouest), la ferme de la famille Blom, une maison posée sur l'eau et trois bassins, est l'une des 800 installations qui jalonnent le littoral du pays scandinave où l'on produit aujourd'hui trois fois plus de salmonidés (saumons et truites) que de viande animale.
Mais, si elle permet d'atténuer les pressions que la pêche industrielle fait peser en mer, la pisciculture n'est pas sans poser de problèmes: fugues, maladies et polémiques sur les aliments ternissent la réputation d'un secteur qui a rapporté 2,5 milliards d'euros à la Norvège l'an dernier.
"Dans certains domaines, les problèmes sont si graves qu'on ne peut pas certifier que l'activité est viable écologiquement", affirme Geir Lasse Taranger, scientifique à l'Institut de recherche marine de Bergen (ouest).

Ostréiculteurs. «On laisse mourir nos entreprises » (Le Télégramme)
Soixante ostréiculteurs des syndicats de la rivière de Pénerf (Surzur, Le Tour-du-Parc, Damgan) et Sarzeau se sont réunis mardi soir. Tous partagent la même inquiétude sur le...

Océans : bientôt, le point de non-retour (GoodPlanet)
A la fois régulateurs du climat et pompes à CO2, les océans sont indispensables à toute vie sur Terre. Ils nourrissent également plus de la moitié de l'humanité et fournissent d'énormes quantités de matières premières et d'énergies. Pourtant, par la pollution, la surpêche ou encore les émissions de gaz à effet de serre, l'Homme a déjà profondément dégradé 40% des mers du globe et la tendance n'est pas prête de s'inverser.
Les mers et les océans, qui couvrent pourtant 71% de la surface terrestre, restent encore des territoires très mal connus. Seuls 10% de la cartographie de l’océan profond ont été répertoriés et on a encore exploré à ce jour que 2% du plancher océanique. Selon les estimations des scientifiques, ces écosystèmes abriteraient 90% de la biomasse et 80% de la biodiversité du monde - dont seuls 5% sont connus à ce jour (274.000 espèces marines recensées).

Morbihan – Loi Littoral. Qu’en est-il le long des Rus et étiers? (Le Télégramme)
Josselin de Rohan, lors d'une question au Sénat, a demandé qu'un décret gouvernemental fixe les rus et étiers. Un amendement a été adopté à ce sujet, en 2005, par le Sénat qui exclut de la loi Littoral les rus et étiers, c'est-à-dire les petits ruisseaux et rivières directement liés à la mer. «Il en résulte une grande insécurité juridique et des affaires douloureuses, comme à Pénestin», souligne Josselin de Rohan. Hubert de Falco, secrétaire d'État, ne lui a pas laissé beaucoup d'espoir. «L'interdiction de construire dans une bande de 100 mètres de part et d'autre d'un cours d'eau de 80 centimètres de large peut sembler disproportionnée. Il reste néanmoins indispensable, conformément à l'esprit du Grenelle de l'environnement, que les secteurs à proximité des rus et étiers restent protégés».

Saint-Raphaël - Le projet de port à sec d'Agay prend l'eau (Var Matin)
Les berges de l'Agay auraient dû être aménagées et le port à sec construit sur le stade de football.
Le maire a évoqué le probable abandon de la construction de cette infrastructure portuaire, et met en cause les services de la Diren.
L'annonce surprenante du président de l'Agandrat (association pour l'avenir des quartiers d'Agay, Anthéor, Le Dramont, Le Trayas) a bien failli complètement éclipser les rapports de l'assemblée générale. Le projet du port à sec d'Agay, pourtant bien engagé et dont on annonçait la livraison pour 2010 serait tombé à l'eau.
À la grande déception de l'Agandrat qui s'y était investi, d'un public qui y voyait là la création de nombreux emplois et d'une dynamique économique pour le secteur. Mais aussi à l'incompréhension du député maire, Georges Ginesta, qui l'avait initié. « Nous sommes à la phase d'abandon de l'opération », confirmait Georges Ginesta qui avouait avoir pourtant travaillé des dizaines d'heures sur ce programme.
Non que la municipalité ne veuille poursuivre l'investissement d'une telle action mais les difficultés administratives mettent des bâtons dans les roues depuis trois ans.
La Diren : un frein
« Nous nous heurtons au ministère de l'Environnement, qui sous couvert de discours de protection, empêche l'avancement du dossier. Pour construire ce port à sec, nous devons aménager les berges. Et pour ce faire, obtenir les autorisations. Mais bien que la sous-préfecture fasse bien son métier et organise les réunions nécessaires depuis trois ans, les services de l'État repoussent ces réunions, ne s'y rendent pas et n'ouvrent pas les dossiers. Nous ne voulons pas abandonner mais devant le peu d'empressement de la direction de l'environnement la Diren (Direction régionale de l'environnement), on sera sans doute obligé » regrette Georges Ginesta qui ajoute avec colère : « Elle joue sur la lassitude et ralentit toute l'activité économique. L'aboutissement des discussions est impossible ».
Pourtant, il y a des emplois à créer, une économie à générer et nous avons travaillé en total respect de l'environnement. »
Depuis trois ans
Le projet du port à sec d'Agay remonte déjà à plusieurs années.

Loctudy - Journées de la mer. Le projet loctudiste retenu (Le Télégramme)
Du 8 au 14juin, le ministère de l'Écologie et du Développement durable organise «Les journées de la mer», dont l'objectif est «d'apprendre la mer», selon le slogan retenu pour la campagne de communication. Dans ce cadre, un appel à projet a été lancé en direction des acteurs du monde maritime pour animer cette opération. La commune a présenté sa réalisation très récente du site internet du port de plaisance. Elle a été retenue, avec seulement trois autres communes de Bretagne, grâce à une originalité: sa carte marine interactive.
De façon ludique
Cette carte, construite sur la base de la carte Shom de la zone, permet de façon ludique de découvrir l'environnement maritime du Pays bigouden. Cet environnement, c'est la géographie avec ses côtes, ses îles, ses espaces marins et ses équipements maritimes et touristiques (ports, cales, tourelles, plages). C'est encore son patrimoine naturel, avec ses espèces animales et végétales et ses zones protégées sur terre comme en mer ainsi que son patrimoine historique encore méconnu: épaves et histoire maritime locale. Les informations sont accessibles à partir d'objets localisés sur la carte. À ces objets sont attachés des textes explicatifs, des photos ou des vidéos ainsi que des liens vers d'autres sites Internet.
À noter que le site du port de plaisance fait partie du «bouquet Internet» de la commune consultable sur www.loctudy.fr.

La taxe carbone en préparation pour 2011 (Sud-Ouest)
Ce nouvel impôt vert devrait être payé par les particuliers et les entreprises, à l'exception de celles déjà visées par les quotas de CO2.
La taxe carbone arrive. Elle pourrait être mise en place en 2011, avec un an de retard sur le calendrier initial.
« On s'était fixé un objectif qui était la loi de finances 2010. Cela ne paraît pas raisonnable. J'ai donné mon accord pour qu'on desserre le calendrier », a précisé Jean-Louis Borloo, hier matin, en installant la Conférence des experts appelée à travailler sur ce projet.

Lorient - Catherine Chabaud voit le nautisme en vert (Ouest France)
Catherine Chabaud a abandonné la course au large en 2002. Elle travaille maintenant avec les laboratoires de l'université de Bretagne Sud sur des prototypes nautiques écologiques.
La journaliste et navigatrice anime aujourd'hui à la Cité de la voile un colloque intitulé « Développement durable, un enjeu pour le nautisme ». Objectif, « aller encore plus loin ».
Entretien
Votre mission pour un nautisme écologique vous a été fixée en avril 2008 par Jean-Louis Borloo. Un an après, mission possible ou impossible ?

Ifremer. Fanny voit fondre la banquise (Le Télégramme)
A l'Ifremer, Fanny Ardhuin est la spécialiste de la banquise. L'institut a engrangé 20 ans de données sur le sujet. Un vrai bagage au regard de la fonte constatée en Arctique. Voici le dernier portrait de notre série consacrée aux 25 ans d'Ifremer.
L'histoire des glaces à l'Ifremer (Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer) a commencé lors de l'étude, par satellite, de la mesure des vents à la surface des océans. La localisation de données bizarroïdes montrait que certaines zones d'ombre correspondaient aux zones polaires. Les chercheurs ont alors compris qu'ils tenaient un atout pour observer les glaces de mer. Fanny Ardhuin est arrivée bien après, en 2004, au laboratoire d'océanologie spatiale. Originaire d'Auvergne, titulaire d'une thèse en radar météorologie, elle avait aussi travaillé à l'école des Télécoms, à Brest, sur les radars appliqués à l'océan, à l'époque où le pétrolier Prestige avait fait parler de lui en mal Puis elle avait effectué un court passage dans le privé, à Boost, sur des applications à la détection de pollutions.

Finistère - Agroalimentaire. Le poumon du Finistère
L'agroalimentaire occupe 42% de l'emploi salarié privé du Finistère. Une part qui croît, d'année en année, dans l'économie départementale, selon l'étude Finist'Eco 2009, publiée par les chambres économiques du Finistère.
Hasard du calendrier: au moment où, non loin de là, la tension était vive entre producteurs de lait et grande distribution, des représentants des cinq chambres économiques du Finistère (Cocef) étaient réunis hier soir à Landerneau, dans un débat animé par HubertCoudurier, directeur de l'information au Télégramme. Avec pour document de base, une étude très exhaustive sur l'activité du Finistère, en 2008.
«Pas de transformation sans production locale»
Depuis, la situation a quelque peu évolué, et pas dans le bon sens, mais cette étude est instructive sur le poids de plus en plus lourd de l'agroalimentaire dans le département puisqu'il est à la fois le moteur de l'activité mais aussi l'amortisseur dans la période de crise actuelle. Avec 19.000 postes de travail, l'agroalimentaire représente, à lui seul, 42% de l'emploi salarié privé du département, avec une prédominance du secteur des viandes (38% des effectifs globaux). Les effectifs restent stables malgré la crise, exception faite de l'intérim. «Certaines entreprises embauchent même», assure Jean-François Garrec (CCI Quimper) tandis que Jacques Jaouen (chambre d'agriculture) rappelle avec force qu'il faut de la production locale si on veut de la transformation. Le secteur de la pêche (27% de la pêche française) présente plus de zones d'ombre puisque les chiffres sont en baisse continue depuis plusieurs années et que ce secteur génère de nombreux emplois induits: un marin en mer, c'est trois à cinq emplois à terre. Avec environ 2.900 marins actuellement, on mesure l'impact de la filière sur l'économie, principalement dans le Sud-Finistère.

Bio. Toujours plus de surfaces en Bretagne (Le Télégramme)
L'agriculture biologique progresse encore en Bretagne. En 2008, elle s'est placée au sixième rang des régions françaises en surfaces cultivées. 36.977 hectares ont été consacrés au bio en Bretagne, soit 2,2% de la surface agricole utilisable et 1,7% de plus qu'en 2007. Le nombre d'exploitations bio bretonnes s'élevait à 1.057 à fin 2008, soit 9,1% de plus par rapport à 2007. La région se situe derrière Midi-Pyrénées (67.822 hectares), les Pays-de-la-Loire (65.884 hectares), Rhône-Alpes (53.648 hectares), Provence-Alpes-Côte d'Azur (51.556 hectares) et Languedoc-Roussillon (47.538 hectares). En France à fin 2008, 13.298 exploitations cultivaient du bio sur 583.799 hectares (+5%), soit 2,12% des terres.

Chausey : le plan de gestion présenté aujourd'hui (Ouest France)
Concilier activités humaines et respect du cadre naturel de Chausey : tel est l'objectif général du plan de gestion de l'archipel.
Au large de Granville, c'est un joyau à préserver. Le Conservatoire du littoral rencontre aujourd'hui les Chausiais sur ce sujet.
Questions-réponses
Un plan de gestion, c'est quoi ?
Ce document résulte de l'application du code de l'environnement. Il détermine les orientations de gestion sur chacun des sites du Conservatoire du littoral. Depuis 2006, deux gardes du Conservatoire sont présents à Chausey. Objectif général du plan de gestion : préserver les milieux naturels tout en conciliant les activités professionnelles et de loisirs sur la partie publique du territoire de Chausey. « Le document que nous présentons ce mercredi à Chausey résulte de trois années de travail, de retours et d'expériences. Il a été rédigé pendant l'année 2008 et validé en janvier 2009 par les différents partenaires au sein du comité de gestion », explique Stéphane Renard, responsable du service gestion du patrimoine au Conservatoire du Littoral.

Salmonidés: pêche fermée dans la Sienne (La Manche Libre)
Le niveau de capture global admissible de "saumon de printemps" sur la Sienne étant atteint, l'interruption de la pêche s'impose pour ne pas créer un déséquilibre dans la reproduction de cette espèce. En conséquence, le préfet d'Ile de France, préfet coordonnateur de bassin, a décidé d'interdire la pêche du saumon à compter du mercredi 10 juin au soir. Par ailleurs, la pêche de la truite de mer est suspendue sur ces bassins à partir de cette même date jusqu'au 3 juillet prochain inclus.

Sainte-Maxime - Espace de liberté, la mer ne doit pas être celui des excès (Var Matin)
Pierre Roussel et Carol, deux des sept policiers municipaux de la brigade nautique chargés de faire respecter la réglementation maritime. Ils font essentiellement un travail de prévention... mais sévissent quand c'est nécessaire.
À la demande de l'association Connaissances maritimes, une réunion d'information sur la réglementation en mer vient de rassembler quelques plaisanciers. Pierre Roussel, brigadier-chef principal à la police municipale, y a rappelé tout ce qu'il faut savoir pour profiter de la Méditerranée en toute sécurité.

Marseille - Les faux permis bateaux avaient la cote (Midi Libre)
Plus de 6 000 faux permis bateaux, dont 600 ont été saisis, auraient été illégalement délivrés en trois ans par la direction régionale des affaires maritimes de Marseille a-t-on appris hier . Douze personnes, dont un officier de la marine marchande, un examinateur et un responsable d'un centre d'examen ont été mis en examen. De plus, l e cadre des affaires maritimes a déjà purgé huit mois de détention provisoire et trois autres, dont l'officier de la marine marchande, six mois.

Sauvetage - Une aile de secours en test (Sud-Ouest)
Les Affaires maritimes ont participé, hier, à un exercice de sécurité sur le Bassin afin d'expérimenter une aile de mer, inventée à Gujan-Mestras, pour les bateaux en détresse
La vedette et le zodiac des Affaires maritimes d'Arcachon ont quitté le port, vers 8 h 30, pour une mission de contrôle sur le bassin d'Archacon. Peu de temps après, ils ont reçu un message de détresse d'un plaisancier en difficulté sur le Bassin.
Romuald Chaigneau a identifié un point sur l'écran radar alors que Yannick Cerisier, chef de l'Unité littorale des Affaires maritimes (Ulam 33), apercevait une voile rouge orangé, s'élever dans le ciel. Un peu comme un cerf-volant. Ils ont contacté leurs collègues sur le zodiac et ont mis le cap vers le bateau en difficulté.
L'Atlantique en kite

Archéologie - Audenge, foyer de la poix (Sud-Ouest)
Des fouilles révèlent le rôle central de la commune pendant l'Antiquité
Quelques fragments d'objets découverts sur le chantier de fouilles du Maignan. (photos marie collinet)
Quelques fragments d'objets découverts sur le chantier de fouilles du Maignan. (photos marie collinet)
Tessons de jarre en terre cuite encore recouverts de poix, morceaux de céramique provenant de vaisselle de table... Ce sont les principaux éléments de « mobilier » (objets), découverts depuis le 20 avril dernier, date du début des fouilles sur le site du Maignan, à Audenge. Et ce n'est pas tout : un puits a également été mis au jour, ainsi que des « trous de poteaux dans le sol, qui indiquent l'existence de bâtiments », explique Luc Wozny, chargé d'études en archéologie préventive de l'Institut National de Recherches en Archéologie Préventive (INRAP) et responsable scientifique du chantier.

Chantier naval. Le Guip vogue à contre-courant
Alors que l'industrie du nautisme boit la tasse, le chantier du Guip, spécialisé dans la construction et la rénovation de bateaux en bois, tient plutôt bien la marée.
Qui aurait misé il y a vingt ans sur ce scénario? A une époque où l'on ne jurait que par le plastique et les matériaux composites, lorsque les bateaux en bois étaient principalement récupérés par les clients les moins argentés... Malgré le ralentissement du marché depuis septembre dernier (les propriétaires privés sont en attente d'une situation plus clémente), l'activité se maintient à un niveau satisfaisant pour les 30 salariés du chantier du Guip répartis à Brest et sur l'île aux Moines. Pour preuve, ce bateau qui arrive ce matin à Brest, de San Francisco par conteneur. Son propriétaire français envisage de le remettre en état au Guip avant de le faire naviguer en Méditerranée. Les commandes étrangères assurent 30% du chiffre d'affaires du chantier spécialisé dans les unités de belle plaisance, les bateaux de travail en bois et les unités historiques.
Malgré l'euro fort Cette ouverture à l'international fait partie des

Sanguinet - Le Musée du lac ouvre ses portes (Sud-Ouest)
Hier, on effectuait les dernières finitions avant l'ouverture. (photo f. N.)
Plus que quelques heures avant d'admirer enfin les deux pirogues extraites du lac en septembre 2003 parmi une flotte de plus d'une trentaine d'embarcations de ce type découvertes sous les eaux.
Ce week-end, ces deux pirogues antiques - traitées au laboratoire Arc-Nucléa à Grenoble et revenues dans la cité sanguinétoise en juillet 2008 - qui reposaient depuis plus de 3 000 ans dans les profondeurs du lac vont sortir de l'anonymat. En effet, elles seront l'une des pièces richissimes du nouveau Musée archéologique, devenu le Musée du lac, qui ouvre ses portes samedi.
Une ouverture lors de laquelle les visiteurs, et plus particulièrement les Sanguinétois, pourront découvrir d'innombrables vestiges issus du patrimoine exceptionnel des sites sublacustres, mais

Morbihan - La Touline. «On forme et informe de plus en plus» (Le Télégramme)
La Touline a 20 ans. L'association qui aide les marins sur le marché du travail tenait son assemblée générale vendredi, à Larmor-Plage. Rencontre bilan avec sa secrétaire, Anne Le Page.
Pourquoi avoir créé une association pour favoriser l'emploi maritime, il y a 20 ans?
En 89, la marine de commerce traversait une crise majeure. Beaucoup d'armements abandonnaient le pavillon français et de nombreux marins étaient à terre. Leurs demandes spécifiques n'étaient pas prises en compte. À l'origine on proposait des emplois uniquement pour les postes embarqués. Puis le bouche-à-oreille a fonctionné. Face à une demande de plus en plus importante, il a fallu professionnaliser l'association.
Que représente la Touline aujourd'hui?

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Qui êtes-vous ?

Ma photo
En 1982, je suis tombé dans le grand bain des cultures marines par la porte de la formation continue. Depuis La Rochelle, j’ai accompagné des professionnels de la mer dans leur installation à la pêche ou en conchyliculture partout en France. Rapidement, l’appel du large m’a gagné. Pendant près de 30 ans, j’ai parcouru les mers du globe. Non pas sur un voilier, mais un sac au dos, de port en port, de communauté littorale en communauté de pêcheurs… En 2008, j’ai mis sac à terre. Maintenant, je voyage sur la toile, et fais voyager tous les jours des centaines d’internautes à travers mon Regard sur la Pêche et l’Aquaculture. Regard croisé avec le Collectif Pêche et Développement, une association basée à Lorient dont le but est de promouvoir un développement solidaire et durable du secteur de la pêche et de l’aquaculture.... Philippe FAVRELIERE Et maintenant sur Facebook : https://www.facebook.com/Regard-sur-la-P%C3%AAche-et-Aquaculture-320623654728433/