mardi 16 juin 2009

16 juin 2009

Poisson : comment consommer durable ? (Le Figaro)

Lorient - Route pêche, en Écosse, sur le Mariette Le Roch II (Ouest France)
Charles Josse, journaliste de notre rédaction de Lorient, a embarqué hier, à Lochinver, sur l'un des trois grands chalutiers de la Scapêche. Il nous racontera à partir de demain la vie à bord.
Le Mariette Le Roch II, 46 m de long, tracte son chalut dans le nord de l'Écosse, près des îles Féroé et des Shetland. Les poissons recherchés, par 300 m à 1 000 m de profondeur : principalement, le sabre noir, la lingue bleue, le lieu noir, le grenadier, la lotte. Il capture environ 2 200 tonnes par an. C'est l'un des trois plus grands chalutiers de la Scapêche, filiale du groupement Intermarché. L'armement est installé à Keroman, près de l'ancienne glacière.
Des marées courtes
La marée, c'est le temps que le bateau passe en mer. Le Mariette Le Roch II a appareillé du port de Lochinver hier lundi, dans l'après-midi.

Saint-Malo - Des stages pour les pêcheurs en infraction (Ouest France)
Les fraudeurs se verront proposer un stage payant alternatif à des poursuites, si l'infraction n'est pas trop grave.
La justice malouine propose une alternative pénale aux pêcheurs amateurset aux marins professionnels ayant commis un délit.
Les magistrats malouins du parquet, en particulier Séverine Desbordes et Alexis Bouroz, ont mis au point un dispositif de stages pour les pêcheurs verbalisés, sur le même principe que ceux dont bénéficient les automobilistes.

Boulogne - Le « Grenelle de la mer » invite tous les acteurs maritimes jeudi à Boulogne (La Voix du Nord)
La réunion décentralisée du «Grenelle de la mer» pour les régions Nord-Pas-de-Calais et Picardie se tient à Boulogne jeudi. Le préfet de région, Jean-Michel Bérard, présidera jeudi à Boulogne la rencontre interrégionale Nord-Pas-de-Calais-Picardie du « Grenelle de la mer ».
Dans la foulée du « Grenelle de l'environnement », le « Grenelle de la mer » se propose de consacrer à la mer, enjeu économique et écologique majeur, la démarche d'associer toutes les parties prenantes. Il vise tant la mer que le littoral.
Seconde puissance maritime mondiale, la France doit se donner une politique maritime à la hauteur des enjeux et des espaces qu'elle détient. L'objectif de ce Grenelle de la mer sera de définir une stratégie nationale pour la mer et le littoral en identifiant des objectifs à court, moyen et long termes.
A l'instar du Grenelle de l'environement, les travaux seront conduits au sein de 4 groupes qui traiteront des thèmes suivants : - la délicate rencontre entre la mer et la terre - entre menaces et potentiels, une mer fragile et promesse d'avenir - partager la passion de la mer - planète mer : inventer de nouvelles régulations.
Ces travaux qui se dérouleront dans les locaux de l'université du littoral et de la CAB seront ensuite suivis d'une consultation du grand public via Internet.

Loire Atlantique - Justice : Civelles : dix braconniers jugés (Presse Océan)
Ils pêchaient cette espèce protégée sans permis
Le marché lucratif des alevins d’anguilles attise les convoitises. Mais il peut en coûter cher d’enfreindre la loi.
Le braconnage de civelles a fait recette hier au tribunal correctionnel de Nantes. Cinq affaires au total. Une dizaine de prévenus. Mais seulement trois hommes présents à la barre. Avec une ligne de défense simple et identique : tout nier en bloc. Peu convaincant. « J’ai jamais pêché de ma vie, j’avais rendez-vous avec une fille », explique un homme d’une quarantaine d’années. Il a été interpellé dans la nuit du 8 avril dernier avec quatre autres personnes au niveau de la passerelle du canal Saint-Félix, à Nantes. « À 3 h 30 du matin ? Sur une écluse ? C’est romantique, une écluse ? », ironise la présidente. Cette nuit-là, cinq tamis ont été saisis et un seau retrouvé avec une centaine de grammes des lucratifs alevins d’anguille, qui se revendent près de 300 € le kilo. Le fruit d’une surveillance aux jumelles infrarouges dans le cadre d’une opération anti-braconnage menée conjointement par les agents de l’Office national de l’eau et des milieux aquatiques (Onema) et ceux de la Police nationale.
Peines d’amende….

Règlement (CE) no 492/2009 du Conseil du 25 mai 2009 abrogeant 14 règlements obsolètes dans le domaine de la politique commune de la pêche

Cameroun: Du matériel de pêche offert aux marins de Douala (Allafrica)
Le don du ministre de l'Elevage, des Pêches et des Industries animales, Aboubakari Sarky, vise à moderniser la pêche et à renforcer la sécurité alimentaire.
Cérémonie faste hier, dans l'enceinte de la Mission de développement de la pêche artisanale et maritime de Youpwe à Douala. Cinq groupes d'initiative commune (GIC) de pêcheurs ont reçu du matériel de pêche moderne du ministre de l'Elevage, des Pêches et des Industries animales, Aboubakari Sarky. Le don est composé de pirogues, de filets de pêche, de hameçons, de bouées, de gilets de sauvetage, etc. Pour une valeur globale de près de 19 millions de Fcfa.
Selon le Minepia, la pêche contribue à la sécurité alimentaire et à la création des emplois et richesses. Mais voilà, ce secteur connaît de nombreuses contraintes qui entravent son développement. Entre autres : la trop forte main mise des pêcheurs étrangers, le peu d'intérêt accordé à l'activité de pêche par les jeunes nationaux, le manque de savoir-faire des pêcheurs en activité, la rareté et la cherté du matériel et des équipements de pêche, les difficultés d'accès aux crédits et l'inorganisation même de la filière

Espèces marines menacées : Une écloserie aux Embiez (Développement Durable)
L’écloserie contribuera à faire connaître au grand public les enjeux de l’aquaculture.
Alors que la raréfaction des ressources marines menace la survie de nombreuses populations des pays en développement, l’Institut océanographique Paul Ricard a inauguré une écloserie expérimentale sur l’île des Embiez. Objectif : développer des techniques de culture d’espèces menacées et de micro-algues à fort pouvoir nutritif.
Après deux ans d’essais prometteurs, l’Institut océanographique Paul Ricard a inauguré samedi 13 janvier son écloserie expérimentale polyvalente sur l’île des Embiez, en présence du ministre de l’Écologie Jean-Louis Borloo et du secrétaire d’État à l’aménagement du territoire Hubert Falco. L’installation, construite en partenariat avec la Caisse d’Épargne, va permettre de réaliser des études génétiques d’espèces menacées de disparition ou de raréfaction comme l’oursin, l’hippocampe ou la grande nacre. Objectif expliqué par la présidente de l’Institut Patricia Ricard : mieux comprendre la croissance de ces espèces pour compenser la diminution des populations en développant des techniques d’élevage. Un moyen de sauver la petite pêche locale tout en préservant l’environnement marin, en particulier dans les pays en développement où la mer est la seule source de subsistance.
Des algues contre la sous-nutrition
Parallèlement à la pisciculture, les chercheurs des Embiez cultiveront des algues microscopiques comme la chlorelle et la spiruline. Connues pour leurs propriétés nutritives et leur croissance rapide, ces dernières sont susceptibles d’apporter une solution à la sous-nutrition dans les pays en développement, mais également d’être utilisées pour la production de biocarburants. Enfin, dans la continuité de la mission pédagogique de préservation de la biodiversité, l’écloserie sera également un lieu d’information du public sur le potentiel de l’élevage dans le contexte de raréfaction des ressources marines.

Ecloserie d’oursins - Le ministre et l'hippocampe (Les Echos)
Venu inaugurer ce week-end une écloserie expérimentale à l'Institut océanographique Paul-Ricard, Jean-Louis Borloo a réservé un « scoop » à la présidente du centre et petite-fille de l'industriel, Patricia Ricard : pour clore en beauté les Journées de la mer, qui ont mobilisé 300 actions de sensibilisation sur le littoral français, il a annoncé que ses services engageront les procédures nécessaires au classement de deux espèces d'hippocampes menacées d'extinction en Méditerranée, hippocampus et guttulatus. A cause d'un loupé administratif, l'animal continuait d'être pêché illégalement et vendu séché dans les boutiques à touristes de la côte malgré la protection internationale dont il fait l'objet depuis la signature de l'annexe 2 de la convention de Berne, en 1999. « C'est une excellente nouvelle qui vient encourager les efforts de nos chercheurs pour préserver des espèces symboliques de la biodiversité marine », a salué Patricia Ricard.
Son institut privé de recherche, qui emploie six scientifiques sur l'île familiale des Embiez (Var) - ouverte au public -, procède depuis deux ans à des essais pour contrôler le développement larvaire de ce poisson insolite à la silhouette équine dont les oeufs - fait rarissime dans la nature - sont couvés dans une poche ventrale par le mâle. « Nous avons déterminé les paramètres d'élevage, explique un chercheur de l'institut. Reste maintenant à fiabiliser la technique pour espérer réensemencer le milieu. »
L'écloserie s'intéressera également à d'autres espèces menacées ou prometteuses pour l'aquaculture : l'oursin comestible, qui est victime de son succès sur les bonnes tables, la grande nacre et des microalgues susceptibles de combattre la sous-nutrition dans le monde (spiruline, chlorelle...) ou de servir à la production de biocarburants.

Espagne : les ostréiculteurs veulent élever des moules à cause des mortalités

Perspectives pour la recherche biotechnique en pisciculture (Cahiers Agricultures)
Auteur(s) : Bernard Chevassus-au-Louis, Jérôme Lazard , Inra Laboratoire de génétique des poissons 78350 Jouy-en-Josas France, Cirad UR "Aquaculture et gestion des ressources aquatiques" TA B-20/01 Avenue Agropolis 34398 Montpellier cedex 5 France.
Résumé : Prenant en compte le contexte international des productions halieutiques, cet article propose des orientations de recherche dans le domaine de la pisciculture. Il s’agit principalement de recherches sur la maîtrise de la qualité des milieux aquacoles, en particulier de milieux littoraux et des eaux continentales, qui intègrent la question des impacts négatifs de certaines formes d’aquaculture en vue de contribuer à préserver à la fois la qualité des produits et le potentiel de production aquacole à long terme. Des recherches pluridisciplinaires sur l’alimentation et la lutte contre les bioagresseurs, prenant en compte les spécificités des systèmes aquacoles, en particulier celles des systèmes extensifs, sont également proposées. Accompagner les initiatives visant à définir et mettre en œuvre des systèmes aquacoles répondant, aux yeux des citoyens-consommateurs, aux divers critères de la durabilité et préservant l’image favorable des produits aquatiques est également un enjeu important. Nous insistons enfin sur deux aspects liés aux relations entre les populations naturelles et les populations aquacoles et qui posent des questions de recherche originales : celui de la domestication des espèces et, à l’inverse, celui des divers impacts des individus échappés d’élevage ou délibérément relâchés.

La génétique du bar (Dicentrarchus labrax L.) (Cahiers Agricultures)
Auteur(s) : Béatrice Chatain, Hervé Chavanne , Ifremer Station expérimentale d’aquaculture Chemin de Maguelone 34250 Palavas-les-Flots France, Istituto sperimentale italiano Lazzaro Spallanzani Via Le Forlanini, 23 20100 Milan Italie.
Résumé : La production de bar, espèce majeure de la pisciculture méditerranéenne, repose encore, dans bien des cas, sur des animaux issus de parents sauvages. Pourtant, l’amélioration génétique est une des clés du développement de toutes les filières d’élevage optimisées. Trois types d’amélioration peuvent être réalisés lorsqu’il s’agit de poissons : i) la production de populations monosexes. Pour le bar, ce serait du monosexe femelle, car les femelles sont plus grosses que les mâles (gain de croissance potentielle de 20-30 %). Cependant, le déterminisme du sexe chez cette espèce est très complexe, car il fait intervenir des composantes génétiques et environnementales. Le monosexage femelle n’est donc pas encore maîtrisé en routine, même si on peut parfois obtenir des lots presque entièrement femelles \; ii) les manipulations chromosomiques, au premier rang desquelles l’induction de triploïdes qui aboutit à des animaux viables mais stériles.

Le Grenelle de la Mer à Leucate, le débat d'idées (La dépêche)
Près de 400 personnes ont participé hier à Port-Leucate, toute la journée aupremier rendez-vous décentralisé de la série «Grenelle de la Mer».

Côtes-d'Armor - Grenelle de la mer. La parole aux citoyens (Le Télégramme)
Déclinaison régionale du Grenelle de la mer, présenté le 3avril dernier par Jean-Louis Borloo, une large concertation est organisée à Brest, le 23juin. Cette rencontre est ouverte à toutes les forces vives de la région.
Définir la stratégie nationale pour la mer et le littoral, tel est l'objectif ambitieux du Grenelle de la mer. Sur le plan régional, le débat public organisé le mardi 23juin, à Brest, devrait permettre de recueillir les avis des usagers, des collectivités locales, des partenaires sociaux, des experts scientifiques et des associations de protection de l'environnement. Une table ronde nationale, organisée début juillet, aura pour mission de déboucher sur des engagements précis, afin d'élaborer une politique maritime durable.
Une centaine de propositions
Isabelle Gravière-Troadec, secrétaire générale pour les Affaires maritimes, a présenté hier, à Saint-Malo(35), cette rencontre régionale: «D'avril à mai, quatre groupes de travail ont élaboré une centaine de propositions relatives à la préservation de l'environnement, à l'aménagement du littoral et au développement des énergies renouvelables en Bretagne», a-t-elle précisé. À Brest, une restitution publique de ces travaux sera réalisée, afin d'alimenter les débats.
Algues vertes sujet sensible

La dépollution des fleuves crée un nouveau marché (Ecolife)
Spéciale métiers durables - Le plan national d'actions sur les PCB, lancé en février 2008 par le gouvernement, stimule la recherche française et ouvre la perspective d'un marché porteur.
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Les PCB, ou polychlorobiphényles, sont des polluants organiques persistants et volatiles qui se fixent aux particules fines des sédiments des cours d'eau et s'introduisent dans la chaîne alimentaire. Commercialisés par la firme Monsanto dans les années 30, ils ont été utilisés jusqu'à leur interdiction en 1987 comme isolant électrique dans l'industrie et dans les transformateurs. On estime que 1 200 millions de tonnes de PCB ont été produites dans le monde et environ 400 millions de tonnes sont dispersées dans l'environnement.

Carburant. Des économètres sur les bateaux à passagers (Le Télégramme)
Le conseil général du Morbihan vient d'équiper trois de ses ferries d'un système de contrôle de la consommation de carburant. Cet outil peut s'adapter à tous types de navires. Les Lorientais d'Ixelek y travaillent

Environnement. Plus de 10.000 éco-prêts à taux zéro (Le Télégramme)
Le ministre de l'Ecologie et du Développement durable Jean-Louis Borloo se félicite du "succès étonnant" de l'éco-prêts à taux zéro, avec "plus de 10.000 ont été accordés en deux mois", et des "600.000 emplois" que créera le Grenelle de l'Environnement.
"Le succès est étonnant et va au-delà de nos prévisions. En deux mois, plus de 10.000 prêts ont déjà été distribués. Je pense que nous allons aller beaucoup plus vite que prévu puisque nous avions tablé sur 100.000 prêts sur les douze premiers mois", précise Jean-Louis Borloo dans "Les Echos".
"Je note aussi également sur le solaire que nous sommes débordés de demandes de particuliers qui veulent raccorder leurs installations photovoltaïques", précise le ministre de l'Ecologie.

Côtes-d'Armor - Plourivo. Le Conservatoire du littoral réhabilite Coat-Ermit (Le Télégramme)
Déjà propriétaire de 400ha du massif de Penhoat-Lancerf et de la maison de l'estuaire de Traou-Nez en Plourivo, le Conservatoire du littoral poursuit son programme de protection de la vallée du Trieux, «de l'estuaire à la mer». Avec l'acquisition récente de la maison de Coat-Ermit, le conservatoire va désormais plus loin en prenant la décision de la réhabiliter

Festival du Bout du monde.500 derniers forfaits trois jours à saisir le 22juillet (Le Télégramme)
Alors que dès le mois d'avril, le festival de Crozon annonçait avoir vendu tous ces forfaits trois jours, il révèle aujourd'hui qu'il a gardé au chaud 500 de ces précieux sésames. Tous seront mis en vente le mercredi 22juillet, à partir de 10h, au tarif normal de61€ (plus frais de location). Une façon de contrer les petits malins qui font de la revente sauvage. Ces ultimes forfaits seront vendus au bureau du festival à Crozon, mais aussi chez Ticketnet.fr, Fnac.com, E.Leclerc, Espaces Culturels, Virgin, Auchan, Carrefour, Géant, Hyper U... À noter, par ailleurs, qu'il reste encore une poignée de billets à la vente: pour le vendredi 31juillet, un peu pour le dimanche 2août.

Pays du Sud. Le combat contre le pillage des ressources (Le Télégramme)
La biopiraterie, c'est le pillage industriel des ressources naturelles et des savoirs des pays du Sud. Un fléau qu'experts, politiques et ONG ont dénoncé, hier, à Paris.
Les industries du «naturel» (laboratoires pharmaceutiques, cosmétiques, spécialistes du bio) puisent largement dans la riche biodiversité des pays du sud. Pour trouver l'ingrédient nouveau, les entreprises «pillent sans contrepartie» les connaissances ancestrales des peuples autochtones en brevetant les ressources biologiques ayant une valeur commerciale, souligne le Collectif Biopiraterie, organisateur des «Premières rencontres internationales sur la biopiraterie». «C'est une malédiction, un vol collectif», a déclaré l'Equatorienne Patricia Gualinga, membre du peuple kichwa de Sarayaku (Amazonie). «Mon père est chamane, il connaît beaucoup de plantes et il a lutté pendant vingt ans contre l'intimidation» des industriels, a-t-elle souligné. «Ils disent qu'ils ne font que breveter un processus de laboratoire mais c'est un artifice monstrueux pour mettre la main sur le vivant», s'est indignée Marie-Christine Blandin, sénatrice française écologiste.
Des brevets déjà retirés

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Qui êtes-vous ?

Ma photo
En 1982, je suis tombé dans le grand bain des cultures marines par la porte de la formation continue. Depuis La Rochelle, j’ai accompagné des professionnels de la mer dans leur installation à la pêche ou en conchyliculture partout en France. Rapidement, l’appel du large m’a gagné. Pendant près de 30 ans, j’ai parcouru les mers du globe. Non pas sur un voilier, mais un sac au dos, de port en port, de communauté littorale en communauté de pêcheurs… En 2008, j’ai mis sac à terre. Maintenant, je voyage sur la toile, et fais voyager tous les jours des centaines d’internautes à travers mon Regard sur la Pêche et l’Aquaculture. Regard croisé avec le Collectif Pêche et Développement, une association basée à Lorient dont le but est de promouvoir un développement solidaire et durable du secteur de la pêche et de l’aquaculture.... Philippe FAVRELIERE Et maintenant sur Facebook : https://www.facebook.com/Regard-sur-la-P%C3%AAche-et-Aquaculture-320623654728433/